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BRICH59
24 décembre 2006

JOYEUX NOËL ! et BONNE ANNÉE !

Il y a deux ans, je vous avais proposé pour Noël une image très parlante. La voici :

no_l_en_palestine

Cette année, je la propose à nouveau, parce que le grand scandale mondial de la seconde moitié du siècle passé, l'explusion des palestiniens de leur propres terres, est toujours efficient, avec l'efficacité meurtrière que l'on sait. La réflexion qu'exprima gandhiGandhi il y a plus de cinquante ans (en 1938 !) s'est hélas avérée prophétique... Relisez Gandhi. Je n'en dis pas plus. Si, juste pour partager une conviction. Pour avoir lu une bonne partie de l'œuvre de Paul Otlet, pour avoir tenté de comprendre le "mondialisme" de ce belge généreux, pacifiste et humaniste qui naquit un siècle avant les soubresauts de 1968 et mourut un peu trop tôt pour assister à la capitulation de la barbarie nazie, pour avoir tenté de comprendre le mondialisme de cet homme hors du commun, je suis convaincu que la décision d'expluser les palestiniens de leurs propres terres est un contre-sens du point de vue de l'organisation mondiale.
Je ne sais si l'ami d'Henri La Fontaine -qui fut prix nobel de la Paix en 1913 - et contemporain du Mahatma qu'était Paul Otlet a eu l'occasion de lire le texte de Gandhi ou d'entendre ses arguments. Je suis convaincu que, s'il l'a fait, il a très certainement dû être pleinement d'accord avec l'Indien...


Autre chose - mais peut-être est-ce au fond ("en dernière instance", comme on disait à une époque) le même problème, je veux dire le même cloaque : cette année, j'ai essayé d'entendre le discours des tenants du libéralisme qui, tout le monde le sait, est à la fois conséquence et cause d'injustice et de misère. En tous cas producteur de dégradation de l'humain, dénégateur d'humanité.
J'ai écouté mes copains libéraux, ceux qui me traite de "gauchiste" moi qui ne suis qu'un petit-bourgeois refusant obstinément de vivre et de mourir étouffé par la petite bourgeoisie, celle qui "moyennise la société", si je peux me permettre ce très laid néologisme (mais, pardonne moi Baudelaire !, peut-on dire la laideur sans des mots laids ?).
Mes copains me disent deux choses :

  1. le libéralisme ne doit pas être confondu avec l'ultra-libéralisme - mais alors ma question est de savoir comment on connaît le moment et l'économie du passage de l'un vers l'autre ;

  2. le libéralisme ne saurait endosser la responsabilité de la délocalisation et donc du chômage, le consommateur étant ici le responsable (est-il prêt à payer le prix de ce qui est produit chez nous, au lieu du prix de ce qui est produit là-bas où la production coûte moins cher parce que les droits humains les plus élémentaires y sont bafoués en toute légalité ?) - à quoi je réponds qu'on a effectivement devant nous le cercle vicieux de la primauté de la valeur monétaire et du capitalisme triomphant, l'autre face de ce cercle vicieux étant que, délocalisant, les producteurs créent du chômage, ce qui diminue le pouvoir d'achat des consommateurs, etc.

Comte_SponvilleJ'ai lu aussi. Par exemple ce bon Comte-Sponville (Le capitalisme est-il moral ?).
C'est bien de vouloir distinguer les niveaux de discours et de rationalité. C'est effectivement au philosophe d'inviter à la pratique de telles distinctions. Reste que le philosophe part d'un postulat, qu'il ne discute ni ne justifie à aucun moment : le libéralisme est "naturel", aucune alternative n'est possible, etc.
Quand j'ai acheté et lu cet ouvrage, j'attendais une réponse à la question de la nécessité du libéralisme - qui n'est même pas posée par l'auteur ! Avec le distinction des niveaux de discours, Comte-Sponville botte en touche et ne répond pas du tout à la question-titre.

En attendant, la pauvreté s'inscrit durablement dans notre société qui fait pêter les bouchons de champagne ce soir et pendant toute une semaine. Cela est-il acceptable ? Suffit-il de dire que le capitalisme n'est ni moral ni immoral, mais que seulement il est, pour s'en tirer une coupe à la main ?


Ici comme là, on assiste à un déni de liberté, d'autant plus implacable qu'il semble impossible. Le libéralisme champion de la privation de la liberté ! Ça sonne plutôt mal ! Mais c'est la stricte réalité des faits : il n'y a de liberté dans le libéralisme que la liberté d'écraser l'autre dont la liberté consisterait à accepter ou pas d'être ainsi écrasé. Pour la premier point, comment refuser à un peuple d'avoir un sol à lui, et qui serait désigné par le Dieu même de ce peuple (la fameuse "terre promise") ! Sauf qu'il y a là un sophisme que Gandhi a bien vu. Et, au bout du compte, on a provoqué en 1948 l'avènement d'un théo-colonialisme, qui aujourd'hui pourrit les relations internationales et s'entretient de chair à canon...

Alors, qu'au bout du vrai compte, les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent...

Décidément, Érasme nous parle toujours avec force et pertinence en ce XIX° siècle !


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22 décembre 2006

Money is murder !

On vient de découvrir que Sir Richard Dole, célèbre épidémiologiste anglais, mort l‘an passé, qui a notamment établi que le tabac cause le cancer du poumon, avait été payé, entre autres, par Monsanto, à raison de 1.500 $ par jour, comme consultant, au milieu des années 80.

A cette époque, en réponse à une commission d’enquête, il a soutenu que l’agent orange (un exfoliant fabriqué par Monsanto et notamment utilisé par les États-Unis pendant la guerre du Vietnam où l’on estime qu’il a ravagé un cinquième des forêts) n’était pas cancérigène. Ce qui était très exagéré, au vu du nombre des victimes (plus de 40.000) dédommagées depuis.

SOURCE : http://carnetsdenuit.typepad.com
avec ce titre Tiens, ça vaut bien une clope !
Ce qui renvoie à The Guardian


21 décembre 2006

« Il est décisif de restituer son humanité au migrant »

Hélène Flautre, Présidente de la Sous-commission des Droits de l’Homme au Parlement européen, s'est exprimée lors de la réunion du 12 décembre. Vous pouvez écouter l’intervention d’Hélène Flautre ou lire sa retranscription intégrale ci-dessous.

Cette retranscription fait partie de la quatrième livraison des Invisibles - à lire absolument si le sort de l'humanité en tant qu'humanité vous concerne...


Cette pièce de théâtre nous permet de discuter en ayant en tête les expériences, le regard, le point de vue du migrant, ce qui n’est en général jamais pris en considération dans l’élaboration du discours politique. Restituer le regard du migrant, c’est quelque chose qui paraît primordial. C’est pour cela d’ailleurs que la parole collective des migrants, le droit de vote des étrangers qui vivent ici, toute une série de propositions qui restituent le migrant dans sa citoyenneté, son humanité, sa singularité, sont des choses absolument décisives. Je trouve que la pièce met aussi en évidence l’absurdité des politiques... quel est le sens de ce jeu de l’oie mortel ? Quel est le sens ultime de ces politiques criminelles ? Il y a ceux qu’on voit ici à Calais, Mickaël a dit qu’ils prenaient des risques insensés, qu’il y avait un jeune qui était mort, mais combien sont morts dans le désert, combien se sont noyés ? En même temps, il y a un tel décalage entre la réalité et les chiffres annoncés sur les reconduites, les images qui sont montrées à la télé, c’est à dire la spectacularisation de ces questions par rapport à la réalité de ce qui se passe. Sarkozy a beau dire "j’en ai retourné dix ou vingt mille de plus que l’an dernier"... Même si c’est inadmissible, qu’on se bat tous les jours, qu’on va dans les centres de rétention pour empêcher ça, c’est quand même une goutte d’eau par rapport la réalité des personnes qui vivent ici sans statut, sans reconnaissance, de façon clandestine. Je trouve qu’il n’y a pas de sens à ce jeu, si ce n’est une vaste hypocrisie, un vaste aveuglement organisé par le caractère spectaculaire de certains faits, dont la reconduite, dont les arrivées sur les îles Canaries, par exemple.

À partir de là, on va ouvrir la discussion sur les alternatives qu’on peut proposer. Déjà, il faut avoir en tête, et c’est assez bien dit dans la pièce, que ces personnes qui partent, de toute façon elles partent. Et de toute façon si elles n’arrivent pas la première fois, elles reviendront. Donc la question est vaine de se demander combien on va en prendre, et lesquels, et formés comme ceci, et qui viennent d’où... Ça c’est complètement bidon comme question, parce que ces gens-là, de toute façon viennent. Donc tout ce qu’on peut dire c’est "dans quelles conditions ils vont venir : en risquant leur peau ? avec une chance sur dix de se noyer ? de façon clandestine ? sans aucun statut ? ou bien ils vont venir avec un statut ?" Ça c’est la question à poser. Mais sinon, c’est complètement bidon, c’est assis sur du sable.

Hélène Flautre

SOURCE:lesinvisibles.net


21 décembre 2006

Noël en temps de paix pendant ou après la guerre...

Le rapport d'information n°118 (2006-2007) de Jean-Pierre PLANCADE et Joëlle GARRIAUD-MAYLAM, pour la commission des affaires étrangères du Sénat, a été déposé le 13 décembre 2006 (90p.).

Il s'agit d'un rapport d'information sur les armes à sous-munitions.

basm200Les bombes à sous-munitions (BASM) sont des bombes à fragmentation de nouvelle génération, composées d’un conteneur principal qui libère en l’air plusieurs centaines de petites bombes, dont beaucoup n’explosent pas au moment de leur chute. Transportées par une "bombe mère", qui peut être un obus, un missile ou une roquette, ces explosifs de quelques centimètres de longueur sont dispersés au-dessus d’une zone, créant ce qui est appelé en langage militaire une "saturation de zone", c'est-à-dire un tapis de bombes pouvant couvrir plusieurs hectares.

sapin_noelLa plupart de ces sous-munitions n’explosent pas au moment de l’impact. Selon l'ONG Handicap International, "entre 5 et 30% restent sur le sol, accrochées aux arbres ou sur les toits des maisons". Imaginez que toutes les décorations lumineuses qui éclairent la nuit de nos maisons et de nos quartiers en cette approche de Noël, imaginez que chaque point lumineux soit en réalité une bombe qui menace d'exploser à chaque instant, imaginez que chaque guirlande de nos sapins de Noël sont en réalité une guirlande de bombettes meurtrières qui explosera quand votre enfant prendra son cadeau sous l'arbre saisonnier...

Résultats : 98% des victimes des ces engins de folie sont des civils, les habitants des "zones tapissées" dont les arbres les maisons et les champs sont ainsi décorés par la folie de la haine et de l'argent.

Et oui ! - le saviez-vous ? - on a prétendu que ces nouvelles armes étaient formidables parce que leur fabrication créait beaucoup d'emploi ! Si Si...

Joyeux Noël !


14 décembre 2006

Chômage : le niveau baisse !

03Il y a quelques semaines, un jeune fait la démarche de l'inscription à l'ANPE. Il a terminé ses études et pense aller de soi qu'il doit s'inscrire comme demandeur d'emploi, puisqu'il cherche du boulot.
attentionLa personne qui le reçoit à l'agence lui tient un discours qu'il n'était certes pas venu chercher là !
interrogationEn l'occurrence, l'idée est simple : "jeune homme, lui dit-on en substance, pas besoin de vous inscrire puisque vous n'avez droit à aucune allocation".

Moi qui croyait naïvement qu'il ne fallait pas confondre situation de chômage et droit aux allocations ! J'en suis tout retourné : fleche2noirles agents de Monsieur Borloo font l'amalgame ! Damned !

À moins que ce ne soit pour une autre raison que ce brave garçon naïf comme moi ait été dissuadé de s'inscrire, de se faire connaître comme demandeur d'emploi... Mais je ne vois pas...


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12 décembre 2006

La sociologie, une science ?

affiche1Jeudi 14 décembre 2006 à 12h30 aura lieu à l'Espace Culture de l'USTL un "Bar des sciences" sur le thème

La sociologie est-elle une science ?

Bonne question, quand on sait que certains sociologues en sont parfois arrivés à "inventer" des méthodes de recherche qui pêchent pas mal côté scientifique et côté politique, voire simplement morale ou déontologie... ; quand on comprend que parfois l'argument de scientificité - argument qui se réduit très souvent en une simple apparence de scientificité - voile des pratiques manipulatoires avérées par ailleurs ; quand on comprend que l'interlope navigue dans toutes les eaux et par tous les temps...
Souvenez-vous de la fameuse "recherche-action de type stratégique"...


11 décembre 2006

Rénover l'humain ?

Moi qui ne vais jamais à l'église que pour y participer ou y assister à un concert (musique vocale ou d'orgue), je reçois très régulièrement et tout à fait gratuitement dans ma boîte aux lettres le bulletin trimestriel de la paroisse, pourtant vendu 1,50€ !
Je feuillette toujours. Après tout, la paroisse est une entité territoriale qui, en tant que telle, me concerne. J'habite là. Bref, avant de parcourir l'ensemble de la publication, j'en lis au moins l'édito. J'en commence du moins la lecture.

Ce trimestre, le titre de l'édito est le suivant :

Il ne suffit pas de rénover l'urbain, mais il faut rénover l'humain...

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Il s'agit d'une citation, citation d'un religieux - peu importe lequel mais qui connaît bien la langue française et son aïeule la latine, puisqu'il utilise 'mais' dans son sens latin de 'magis' que le français d'aujourd'hui a perdu, que l'on pourrait traduire par "et de plus", ce qui n'est pas sans frôler la redondance avec 'il ne suffit pas'...

Comment ça ? Rénover l'humain ?

Voilà bien une expression de prêcheur, d'harangueur, d'homme politique, de potentat !
Qu'est-ce que ça veut dire RÉNOVER l'humain ?

  • Pourquoi ne pas tout simplement retrouver l'HUMAIN tel qu'il est, tel qu'il serait si justement on le laissait percer sous la carapace de l'économique ?

  • Pourquoi ne pas tout simplement instaurer et mettre en application une loi internationale qui interdise que soient bafoués les droits humains les plus élémentaires - y compris sous le prétexte fallacieux de la fameuse "liberté d'entreprendre", de la non moins fumeuse "liberté de gagner", du sacro-saint "libéralisme économique et politique" ?

  • Pourquoi ne pas écouter la voix de la sagesse, celle d'Amnesty International, qui veut promouvoir et défendre les Droits économiques, sociaux et culturels ?

Voici la présentation de cette problématique à laquelle les hommes politiques ne sont que trop sourds :

DESC

De grâce, Monsieur le curé, cessez de ne pas regarder le monde - qui vous est "d'ici-bas" - pour ce qu'il est : un panier de crabes où les uns, quelques uns, dévorent littéralement les autres, tous les autres, au prétexte qu'ils sont économiquement moins forts, qu'ils sont perdants à un jeu qu'ils n'ont pas décidé de jouer et dont, quoi qu'il arrive, il ne peuvent modifier les règles vers davantage de clarté et d'humanité !
De grâce, Monsieur le curé, cessez de cautionner par votre aveuglement et votre silence tant de cruauté à ciel ouvert !

Au lendemain de la mort du grand dictateur mis en place par les lobbies industriels US et dont les crimes atroces n'ont jamais provoqué la moindre tentative d'excommunication de la part de cette Très Sainte Mère l'Église dont le dictateur se recommandait si souvent, OSEZ DÉNONCER LA VIOLATION PERMANENTE DES DROITS HUMAINS ÉLÉMENTAIRES en pointant du doigt les responsables de cette violation, que vous connaissez très bien !

Non Monsieur le curé, ce n'est pas l'humain qu'il faut rénover ! L'humain nous savons tous intimement ce que c'est ou plutôt ce que cela peut être.
Non Monsieur le curé, ce n'est pas l'humain qu'il faut rénover, c'est votre discours !


7 décembre 2006

La collusion et l'oxymore : deux armes pour les gagneurs !

31d_c2005Depuis à peu près un an, j'ai pris l'habitude - peut-être fâcheuse - de surnommer Monsieur Sarkozy par une expression à rallonge : Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio. L'idée est très simple : en se mélangeant volontairement les casquettes, Monsieur Sarkozy se facilitait vraiment la vie.
Exemples tout théoriques :

  • quand le candidat a besoin de se déplacer, il se déplace en tant que ministre
  • quand le candidat a besoin d'être bien informé des faits et gestes des autres ou des tendances du vent, le ministre nomme des gens compétents aux postes adéquats
  • quand le ministre veut mettre de l'eau dans son vin, le candidat fabrique un projet tout beau tout mignon (ah bon !)
  • quand le chef de parti a des velléités de main mise, le candidat crève l'écran
  • quand le candidat veut crever l'écran, il est chef de parti
  • etc.

Tout ça est très dialectique. On y perdrait son latin !

230Mais le temps passe et les temps changent : nous sommes aujourd'hui en vraie campagne électorale, je veux dire en campagne déclarée à la grande surprise de la nation. D'ailleurs tu remarqueras, citoyen vigilant, que Monsieur ne s'est pas déclaré candidat à l'investiture de l'UMP, mais bien candidat à la Présidence de la République : à la question "Êtes-vous candidat à l'élection présidentielle ?", il rétorque à la surprise générale "Ma réponse est oui".

Une fois la surprise passée, et surtout après avoir lu l'entretien-surprise et tout ce qui s'ensuivit, on comprend mieux : Monsieur reste le roi de la collusion (il aurait tort de se priver : personne ne s'en plaint vraiment en hauts lieux!), mais ajoute un second stratagème, bien connu des politicards mais qui prend aujourd'hui un relief tout particulier. Il s'agit du stratagème de l'OXYMORE.

J'ouvre mon Wikipédia chéri et je lis :

  • Un oxymore (parfois aussi appelé oxymoron) est une figure de rhétorique où deux mots désignant des réalités contradictoires ou fortement contrastées sont étroitement liés par la syntaxe. En exprimant ce qui est inconcevable, le poète crée ainsi une nouvelle réalité poétique qui suscite un effet de surprise.

Juste un des exemples d'oxymore proposés par WikiPédia : « Je sais que c'est la coutume / D'adorer ces nains géants. », Victor Hugo...

Ce procédé rhétorique permet d'exhiber un paradoxe, de produire une image surprenante. Le plus souvent d'ailleurs c'est une métaphore. Et souviens-toi, fidèle lecteur, la métaphore est une tension où, sous le ruissellement d'une ressemblance, coule une différence. Cherchons donc la différence : qu'est-ce qui dans la formule "rupture tranquille" fait différence ? et d'avec quoi ?

Vous je ne sais pas, mais moi, ça me rappelle le « changement dans la continuité » de Pompidou (1969) et Valérie Giscard d’Estaing (1974) - qui n'en firent chacun qu'un seul mandat !


22 novembre 2006

Pas d'excuses !

Monsieur Sarkozy dit ceci :

« Si on excuse la violence aujourd'hui,
il faut s'attendre à la barbarie demain »

M_tro061122Précisément !
C'est au nom de cette prudence que nous devons tous être très très vigilants sur les justifications qu'apporte ce "ministre = candidat Président = chef d'appareil".

Précisément !
C'est au nom de ce constat que nous devons dénoncer le passé parfois violemment d'extrême droite de certains des collaborateurs rapprochés de ce "ministre = candidat Président = chef d'appareil".


21 novembre 2006

N'oubliez pas la Tchétchénie !

Je repasse, mais en format image cette fois, l'info concernant la manifestation de samedi prochain

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Pour mieux lire le visuel, cliquez dessus... ou bien retournez sur l'info de la semaine dernière.


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