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BRICH59
30 avril 2007

Sarko for ever

Je viens de recevoir le mail suivant :

Serge Portelli est membre du Syndicat de la Magistrature.
Son livre - que vous trouverez en pièce jointe - concernant le bilan de Sarkozy vient d'être "empêché de publication avant les élections".
Diffusez largement ce livre sur le bilan de Sarkozy, qui vient d'être censuré par l'éditeur MICHALON qui vient mystérieusement de renoncer à l' éditer au dernier moment, empêchant toute publication chez un autre éditeur avant les élections. Rappelons que le directeur des éditions Michalon, Yves Michalon, est un ami personnel du candidat UMP à la présidentielle...


Bien sûr, je n'ai pas eu le temps de lire cet ouvrage. Juste feuilleter - façon documentaliste professionnel... En voici la page 3 :

Portelli__sommaire

Si vous souhaitez lire l'ouvrage (© Serge Portelli, mars 2007. Diffusion par Internet: http://www.betapolitique.fr. Licence de mise à disposition Creative Commons NC-BY-SA), il est sous l'image de la page 3... Yakakliké!

Bonne lecture !


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30 avril 2007

Analyser les discours pour comprendre les tours de passe-passe rhétorique...

Vite, allez voir ce site...


30 avril 2007

Populaire, il a dit populaire ?

J'ai toujours pensé que la rhétorique posait des questions de droits de l'homme, ne serait-ce que pour la manipulation oratoire des foules...
Exemple très contemporain : Nicolas Sarkozy affirme qu'il est le candidat populaire, et non le candidat d'un appareil.
Ce qui signifie, en vertu de la combinaison des rhétoriques du retournement et de l'envers : Nicolas Sarkozy est en fait le candidat d'un appareil, mais attribue cela à l'autre pour pouvoir paraître l'envers de ce qu'il est, pour pouvoir paraître populaire, dans une relation individuel avec le peuple de France, etc.

Nicolas Sarkozy ne serait pas le candidat d'un appareil ?

  1. Nicolas Sarkozy est à lui seul un appareil politique : il peut sans mentir dire "l'UMP, c'est moi"...

  2. Nicolas Sarkozy est la tête de pont de l'appareil gouvernemental : il n'est que de les voir tous le suivre comme de gentils toutous, premier ministre en tête... ce qui produit une dépense d'énergie jamais vue au service d'un candidat qui utilise les moyens de l'État, directement ou indirectement, pour faire sa campagne soi-disant "personnelle"... si vous n'êtes pas convaincu, comparez le déploiement des forces de polices autour des déplacements de Nicolas Sarkozy et autour des déplacements de Ségolène Royal... mais de cela, étrangement, personne ne parle même si cela signifie, en clair, que le contribuable finance une grosse partie de la campagne de l'individu Nicolas sarkozy !

  3. Nicolas Sarkozy est soutenu par l'appareil patronal et si son frangin a été évincé de la présidence du MEDEF, c'est pour que l'emprise Sarkozy n'apparaisse pas trop au grand jour et de façon trop voyante...

  4. Nicolas Sarkozy est soutenu par l'appareil médiatique et la différence entre Berlusconi et Berluskozy, c'est que le premier était en même propriétaire des médias et homme politique, alors que notre Berluskozy à nous est juste copain avec les propriétaires des médias... Relisez l'article de Libé de ce week-end...

Bref, personne d'honnête ne contestera que Nicolas Sarkozy soit le candidat de l'appareil, voire le candidat des appareils...

D'où le mensonge éhonté du ministre Dutreil : "Nicolas Sarkozy, c'est le candidat populaire face à une candidate très bourgeoise qui incarne les conservatismes et qui commence d'ailleurs très classiquement à négocier avec les appareils des partis politiques" (Le Monde du 25 avril).
L'intérêt de cette phrase est double :

  • elle valide mon point 2 ci-dessus (l'État comme appareil au service de l'individu Nicolas Sarkozy) ;

  • elle montre, dans un style très grossier, le fonctionnement des rhétoriques de l'envers et du retournement.


29 avril 2007

la rhétorique du retournement

Après, mais avec, la rhétorique de l'envers, voici la rhétorique du retournement. Notre petit homme hargneux et tendu est décidément très fort, côté rhétorique !
De quoi s'agit-il ?
En fait, tout vient du constat que la meilleure façon de ne pas être accusé de commettre les forfaits qu'on commet, c'est d'en accuser l'autre. Cela, je l'ai constaté à mes dépens lors du mon divorce dans les années quatre-vingt. C'est diaboliquement efficace. Un truc d'avocat, quoi !
Tu piques une orange sur l'étalage d'un épicier et tu en accuses un autre. Le temps que la marée-chaussée se rende compte que ce n'est pas lui, tu as pu tranquillement dégusté l'orange... Si l'autre a la peau mate, c'est encore plus efficace... mais c'est une autre question.
Plantu_Lemonde070429__640_Voyez ce petit homme hargneux et tendu qui accuse les autres de le diaboliser, de colporter de gros vilains pas beaux mensonges "à son endroit", alors que lui, dit-il, n'est que dans le respect de l'autre, n'attaque pas les gens mais juste les idées, etc. Moi je trouve ça très fort de dire cela, et de le répéter à qui veut l'entendre et même aux autres, de la part de quelqu'un qui affiche une suffisance, un dédain, un mépris comme je n'ai jamais vu à l'endroit d'adversaires politiques. Souvenez-vous juste de sa façon d'évoquer le débat de samedi matin sur BFMtv et RMC ! Le dessin de Plantu dans Le Monde de ce week-end est très évocateur. Encore une fois, merci Plantu !

Tiens, d'ailleurs, Plantu n'est pas très apprécié par notre petit homme hargneux et tendu. Ce dernier s'est même plaint très explicitement du traitement que lui imposait notre caricaturiste chevronné. Page 14 de la même édition, la médiatrice du journal nous raconte une fort belle histoire : Monsieur Sarkozy en personne (d'habitude il fait donner ses sarkoboys, mais là!) pour dénoncer une mouchecertaine mouche... qui a le gros défaut de déplaire à notre petit homme hargneux et tendu. Et Plantu de rigoler de tout ça, remarquant - le perfide !- que, de tous les détails significatifs dont il a affublé le petit homme, il en est un que ce dernier semble reconnaître comme non-déplaisant... Je cite (fin de l'article) : « Le plus drôle, note le caricaturiste, est que Nicolas Sarkozy, qui lui reproche, pêle-mêle, brassard, mouches et petit chien, oublie un autre déguisement, pourtant récurrent : celui d'Iznogoud, le vizir félon qui veut être calife à la place du calife. "Il ne me reproche pas de le dessiner en traître. C'est curieux..."». Moi, je ne trouve pas ça très étonnant ! On constate également, dans cette histoire, comment le responsable du parti politique dénommé UMP utilise les services du ministre n°2 du gouvernement pour faire savoir ce qu'il pense de tout ça au dessinateur ! Encore le principe de collusion systématique, principe congénital de notre petit homme...

Bref, notre petit homme est bel et bien intervenu pour que Plantu arrête de le malmener de son coup de crayon... Pourtant notre petit homme jure ses grands dieux qu'il n'intervient jamais auprès des médias. Mais c'est bien sûr un mensonge : il n'est que de lire l'article de Libé de ce week-end qui parle de La haute main de Sarkozy sur les médias... Rhétorique de l'envers : quand le petit homme hargneux et tendu affirme qu'il n'intervient jamais auprès des médias, il y a fort à parier qu'il intervient auprès des médias. Là où on passe à la rhétorique du retournement, c'est quand l'accusation de faire pression sur les médias est dirigée contre les adversaires du petit homme (via le président de l'APQR, par exemple...).


27 avril 2007

Ne pas trahir...

Information dans Le Monde Interactif (message d'hier soir peu avant minuit), rendant compte de la prestation télévisuelle du candidat de la droite :

Nicolas Sarkozy s'engage à ne pas "trahir" ses électeurs.

Remis à l'endroit, cela signifie qu'il ne trahira pas ceux qui trahissent leurs engagements politiques pour le porter au pouvoir, lui qui, pour arriver en position d'y être porté n'a pas hésité à trahir autrefois les siens. Bref quand il parle de trahison, notre homme sait de quoi il parle... Tiens, ça me rappelle une histoire de crétois, dont le fameux paradoxe s'est quelquefois énoncé ainsi : « Un homme disait qu'il était en train de mentir. Ce que l'homme disait est-il vrai ou faux ? »

En attendant, on plonge droit dans une histoire de ... crétins : ceux qui donnent leur suffrage au clan des traitres et des bonimenteurs... Rappelons que le crétinisme est une maladie congénitale. Je ne parle évidemment que par métaphore, puisque cette pathologie-là n'existe plus en France, grâce au dépistage systématique à la naissance...


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25 avril 2007

Vous avez dit possible ?

Je sais, c'est connu et archiconnu, mais je ne résiste pas au plaisir de partager la bonne nouvelle...

possible


24 avril 2007

La rhétorique de l'envers

Il est quand même formidable, ce petit homme hargneux et tendu qui se présente au suffrage "universel" : il a une façon de parler telle qu'il faut, pour comprendre la richesse de la réalité de son discours, inverser ce qu'il prétend dire. J'avais déjà relevé son goût immodéré pour l'oxymore, dès décembre dernier. Je ne m'étais pas trompé !

Sauf qu'il ajoute un cran : en décembre je notais comment il décrivait sa propre action, sa propre pensée par oxymore. Aujourd'hui, c'est la réalité tout court qu'il décrit sur ce mode. Par exemple quand il dénonce le "front commun des haines" que cherchent, selon lui, à constituer la gauche et l'extrême gauche contre sa personne à l'approche du second tour de l'élection présidentielle (Le Monde de ce soir). Moi je le trouve culotté de parler ainsi, lui qui lêche si goulûment les thématiques de F-Haine ! Au passage on remarquera qu'il focalise tout sur sa personne, ne mettant aucunement en cause (c'est-à-dire en débat) les idées qu'il avance - ce qui est très caractéristique des paranoïaques, maladie commune des tyrans...

Bref, il faut traduire le sarkozy, langage qui parle à l'envers du langage ordinaire, à l'envers du langage que vous et moi parlons au quotidien... Si nous ne voulons pas être les victimes abusées voire consentantes de la schizophrénie collective qu'il nous impose, il ne faut pas tarder à sous-titrer publiquement tous ses discours. Sinon, le rêve du petit homme hargneux et tendu qui se présente au suffrage "universel" va devenir le cauchemar des Français et des Autres.


23 avril 2007

Le tyran et ses traitres...

Quand j'observe ce qui se passe aujourd'hui autour du petit homme hargneux et tendu qui risque fort d'être élu Président de la République française dans quinze jours, je ne peux pas chasser de mon esprit l'image toute platonicienne du tyran qui finit par mourir d'avoir peur de mourir, de craindre d'être tué par l'un de ses proches. Ce doit être dans La République... quand l'athénien nous propose une phénoménologie des régimes politiques... Regardez qui entoure le petit homme hargneux et tendu qui risque fort d'être élu Président de la République française dans quinze jours. Au hasard : Besson et de Robien.

Le premier n'est visiblement qu'un assoiffé de pouvoir, voire simplement de publicité. Il passe directement du staff du Parti Socialiste (où apparemment ses dents rayaient trop visiblement le parquet) au staff de l'UMP, parti antagoniste du Parti Socialiste. Mais que peut attendre Mr Sarkozy d'un tel traitre à la cause qu'il défendait bec et ongles il y a si peu ? Que peut attendre Mr Sarkozy d'un écrivaillon qui le vilipendait si durement il y a moins de six moins, avant de vilipender celle pour qui il pointait le bec et acérait les ongles... Mr Sarkozy n'a que faire de cela. Il est au dessus de ces détails. Comme le prince de Machiavel qui savait prendre la bonne distance et distinguer ce qui lui est utile un jour et dont il se débarrassera un autre jour.

Le second est la taupe sarkozienne au pays de Bayrou - qui fut son pays natal, son identité nationale à lui. Il passe son temps, après donc avoir trahi sa propre famille, à tenter de dévoyer ses frangins pour qu'ils trahissent comme lui. Un traite faiseur de traitres... Là aussi, que peut attendre le petit homme d'un traitre faiseur de traite, d'un traite exponentiellement traite ? Qu'il le trahisse un jour prochain ? Là aussi le seigneur UMP prend l'aide car elle lui est utile aujourd'hui pour asseoir son pouvoir personnel. Demain on verra...

Et ce ne sont pas les sarkoboys, tontons fingueurs de première catégorie qui rattraperont le coup ! Eux aussi demanderont leur part du gâteau que le petit homme entendra naturellement s'attribuer à lui seul... lui qui, il n'y a pas si longtemps, trahit le potentat...

Chez Platon, le tyran finit dans une immense solitude par étouffer de tant de crainte de trahison.


15 avril 2007

Les équilibristes...

_quilibristeJe viens du cirque Arlette Gruss, très provisoirement installé à Valenciennes. Même si je n'apprécie jamais vraiment les numéros où l'humain montre très ostensiblement qu'il a "dressé" l'animal, je dois avouer que j'ai été émerveillé par tant de grâce et de mouvement mêlés, par tant d'agilité mise au service du spectacle esthétiquement réglé.
Par exemple ce petit homme asiatique qui, au centre de la piste, a construit une colonne de chaises. Sur chaque nouvelle chaise hissée au sommet, il paradait avec lenteur, dessinant de son corps des figures inédites. La colonne a fini par être si grande que le petit homme avait l'air comme suspendu dans les airs, accroché aux étoiles par un invisible fil - que symbolisait le câble de sécurité relâché. Je le voyais suspendu, sachant pertinemment que, déjouant les lois de la pesanteur, le corps du petit homme était ancré dans le sol, même par l'intermédiaire d'une colonne de chaises. Indéfectible sentiment que ce que l'on voit ne correspond pas à la réalité. Inévitable sensation de vivre mais à l'envers ce que disait Pascal ("Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu’il ne faut, s’il y a au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n’en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer." Extrait bien connu des Pensées).

solasc_014C'est comme hier soir à Chéreng, où nous (l'ensemble vocal Cœli et Terra) donnions un concert. La première pièce que nous avons chantée était cet étrange Miserere de Gregorio Allegri.
Quand je dis "étrange", je veux simplement faire état de ma perplexité devant cette pièce de la musique vaticane de la première moitié du XVIIe : musique entre psalmodie à une voix et polyphonie; musique entre prière et acoustique; musique du dedans, de l'intime, de la conversation privée avec Dieu, mais aussi musique sonnante, extravertie, construite sur un dialogue entre deux chœurs qui se répondent et répondent au psalmodiste.
L'une des étrangetés de cette pièce est la partie de superius dans le petit chœur (versets 3, 7, 11, 15 et 19). Il s'agit très précisément du moment où la verticalité de la psalmodie polyphonique se dérègle pour laisser progressivement la place à un court dialogue polyphonique où les voix se répondent, dans un calme toujours serein mais en dansant, en "bougeant", contre-temps à l'appui, comme dans une nervosité nouvelle mais contenue dans le carcan de l'ancestrale liturgie. Le deuxième évènement étrange de ces passages, c'est lorsqu'après un début de phrase en psalmodie polyphonique verticale, arrive ce contre-ut lancé dans le ciel, mais déjà là dans la céleste clarté, caressant les étoiles et se jouant du vent, imperturbablement immobile dans sa fine évidence, puis descendant, tel un planeur, pour venir se poser doucement au-dessus de nos têtes embellies...
Hier soir aussi j'ai ressenti ce jeu entre l'accroché dans le ciel et l'ancré dans le sol. Bien sûr que pour dessiner si parfaitement cette descente en suspension aérienne, Juliette (qui assurait le superius hier soir) était solidement planté dans le sol, y puisant toute la force nécessaire à l'émission de cette note si haute et si longue dans sa descente; bien sûr que la chanteuse a savamment mobilisé sa propre pesanteur pour chanter ainsi. Reste qu'à l'écoute, je ne pouvais pas ne pas m'avouer que j'entendais un son désolidarisée de la terre, pur élément céleste...
Juliette est comme le petit homme asiatique du cirque Arlette Gruss, une équilibriste.


9 avril 2007

"Kaléidophone" pour les Nocturnes du Palais des Beaux Arts de Lille

Imaginez un lieu long de 30 mètres, large de 20, et presque aussi haut…. Un rectangle magique, bordé d’œuvres d’art et tout imprégné des trésors contenus par les salles et les galeries qui l’enserrent… Espace scénique rêvé où tout semble possible….
Magnifique !
Dès lors, vous imaginez un concert en ce lieu.
Bach… Josquin….Impossible !
Impossible car la réverbération est démentiellement longue….
Certains vous diront :
- L’acoustique est très bonne !
(Mes collègues chefs de chœur apprécieront : ils ont tous vécu ces moments cruciaux où ils découvrent des lieux dont on leur a tant vanté l’acoustique… et qui se révèlent totalement impropres à la musique qu’ils s’apprêtent à interpréter.)
D’autres s’écrieront :
- Mais non, elle est affreuse !
Non, l’acoustique de l’atrium est mieux que belle,
et bien mieux qu’affreuse :
elle est exceptionnelle ! Et mérite qu’on écrive pour elle !
J’ai eu la chance qu’on me confie ce fabuleux projet : une création dans et pour l’atrium.
Kaléidophone est une œuvre de 35 minutes pour
solistes et chœur a cappella, alternant musiques écrites (originales pour la plupart, un seul arrangement de JS Bach), musiques improvisées sur un canevas écrit, ou improvisations presque totalement libres.
Comme son nom l’indique, ses huit mouvements sont construits
lille_beauxarts_facadeautour d’axes et de plans de symétrie :
-    Inquiétude
-    Calme trompeur 1
-    Calme trompeur 2
-    Contrariété
-    Adversité
-    Zum Friede 1
-    Zum Friede 2
-    Vers la paix

Ils s’enchaînent, partant du centre et retournant au centre, occupant tout l’espace, et même un peu au-delà, cajolant, creusant, sollicitant l’acoustique, ou la contournant, jouant d’elle depuis les plus tendres accents jusqu’aux agressions les plus sauvages...
Cœli et Terra est composé pour l’occasion d’un chef et de 20 chanteurs, dont 5 solistes.


Ces lignes de Maurice Bourbon présente l'œuvre qui sera donnée en création le 4 mai 2007, en deuxième partie du concert proposé par l'ensemble vocal Cœli et Terra. La première partie se déroulera dans une salle de peinture et vous permettra d'entendre cinq pièces chorales a cappella du plus beau baroque français et européen :

  • Panis angelicus d'Henry DU MONT le français né près de Liège (1610-1684)
  • Tristitia vestra du même
  • Ah! Morior! de Guillaume BOUZIGNAC le languedocien (né vers 1587, mort après 1643)
  • Da Jakob vollendet hatte de Johann Hermann SCHEIN l'allemand (1586-1630)
  • Magnificat de Domenico SCARLATTI l'italien (1685-1757)

Lille, Nocturnes du Palais des Beaux Arts, 4 mai 2007, 20h
visite libre de l'exposition Philippe de Champaigne à partir de 19heures
entrée : 10€ (tarif réduit : 5€)


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