Juliette KAPLA à Lille demain
Juliette KAPLA sera à Lille (59), demain 17 mars, au Théâtre de la Verrière, vers 21h30, dans la soirée d’Amnesty International
Juliette KAPLA sera à Lille (59), demain 17 mars, au Théâtre de la Verrière, vers 21h30, dans la soirée d’Amnesty International
De la loi du 23 avril 1919 instaurant la journée de huit heures jusqu’à la loi du 31 mars 2005 sur le compte épargne temps, l’histoire de la réduction du temps de travail est jalonnée d’étapes importantes. La mise en place des congés payés en juin 1936, il y a soixante dix ans, a marqué les esprits. Le passage à la troisième semaine de congés payés mérite aussi d’être racontée. C’était il y a cinquante ans, en mars 1956...
Tel est le chapeau d'un article publié vendredi dernier (10 mars 2006) par l'Institut Supérieur du travail.
Lisant cet excellent document, je ne peux m'empêcher de penser à la tête de nos ultralibéraux en scène aujourd'hui devant cette déferlante de la quête de qualité de vie des travailleurs...
Plus sérieusement, je me dis que, là, il y a authentique progrès.
Non ! Un vrai progrès, une lame de fond, un souffle qui vient de la profondeur du respect de l'humain et pas de cette injonction faite à l'homme de n'être qu'un homo economicus, de se comporter comme un froid calculateur où tout se compte en valeurs financières, même quand on n'a pas le sou et qu'on est économiquement à la merci du premier possédant venu...
C'est un vrai progrès, et c'est bien pour ça qu'ils essayent par tous les moyens de revenir sur ces avancées humaines (et pas seulement sociales !) !
Le rectorat de Paris chiffre entre 500.000 et un million d'euros les dégâts causés par l'occupation et l'évacuation policière de la Sorbonne dans la nuit de vendredi 10 à samedi 11 mars 2006, a-t-il indiqué à L'AEF aujourd'hui, mardi 14 mars 2006, après constat d'huissiers. Le rectorat a porté plainte.
J'espère seulement qu'on arrivera à distinguer entre les éventuels dégâts causés par les étudiants de ceux que l'intervention violente de la police a fatalement produits.
Car la matraque, ça casse. C'est même fait pour ça... On a les outils de communication et de dialogue qu'on peut !
Alors que des étudiants ça occupe. C'est tout. Juste pour discuter de leur propre avenir. Les étudiants ça occupent. Même que ça occupe la police...
À parier qu'on va faire une cote mal taillée propice à accabler nos étudiants !
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mars 2006
mensuel d'information et d'action
du site Internet d'Amnesty-France
http://www.amnesty.asso.fr/08_ai_info/actionaute_mars2006.htm
Une nouvelle revue en ligne vient de voir le jour : Temporel.
La photo ci-contre représente un élément de la façade de la Basilique S Pietro de Tuscania (Latium).
Comme tous les abonnés à Biblio-fr, j'ai reçu un message d'Anne Mounic qui présente cette livraison où l'on parle d'Alphonse de Lamartine, d'Alfred de Vigny, d'Emily Dickinson, d'André Gide, de Thomas Mann, de Robert Graves, d'André Malraux, de Pierre Emmanuel, de Gaston Bachelard et de quelqeus nombreux autres...
Je ne suis pas à même de juger la qualité des contributions...
Allez-y donc voir vous-mêmes !
Longue vie à la
diffusion culturelle gratuite
pour tous !
J'ai vraiment sous-estimé letaux de surdité de notre Ministre de la Culture !
Souviens-toi, oublieux lecteur, le 22 février, je t'ai donné à lire un mes- sage que je promettais d'adresser au webmaster du site Lestelecharge- ments.com pour qu'il y soit posté...
Et bien, rien !
Ni oui ni non ni merde !
Rien nada nichts !
Déjà que j'ai lu un peu partout que ce site était assez mauvais et qu'il avait coûté trop cher pour ce qu'il était et que c'était le contribuable qui avait payé ça, sans qu'on lui demande son avis, ou plutôt contre son avis puisque ce site est fait pour marteler au contribuable qu'il file un très mauvais coton en pensant ce qu'il pense c'est-à-dire qu'une politique de diffusion culturelle gratuite, qu'une politique d'accès à la culture pour tous était a priori politiquement et citoyennement meilleure qu'une politique de préservation des privilèges économiques des aristocrates de la finances !
Déjà que j'ai constaté - avec d'autres - que ce site ne semble pas permettre le débat promis, comme l'annonçait ce Thomas que je ne connais pas mais qui se présente comme maître des lieux : Avec ce site nous voulons vous permettre de continuer à débattre autour de ce projet de loi. Jour après jour, nous vous proposerons de réagir librement (pas de censure sur ce site) à de nombreux témoignages. Même que c'est pas beau de mentir si effrontément ! Même si on est dans le camp du Président ! C'est pas une raison ! C'est pas en faisant le flou que vous nous grugerez, Monsieur le Sinistre Valet des Compagnies de diffusion se disant culturelle !
Déjà que je m'interrogeais sur les liens entre l'État et la Démocratie l'autre jour ! Aujourd'hui je ne m'interroge plus sur les pratiques dictatoriales de l'État ! Et les manoeuvres du gouvernement et du groupe UMP réunis, ces jours-ci à l'Assemblée, ne font que confirmer mon désarroi citoyen...
Plus besoin de m'interroger !
Constater suffit. Faire le lien entre ça et le comportement gouvernemental dans l'affaire du CPE où les ministres mentent effrontément ou alors envoient la cavalerie pour déloger des étudiants en Sorbonne, c'est-à-dire chez eux !
Constater suffit.
Et pleurer.
Message lu sur IndyMedia
Le Sénat s'apprête à voter en cachette un texte qui vise à réduire de 60 % l'aide aux radios associatives. Ce vote aura lieu le 15 mars. Ce texte est un moyen d'éliminer, de fait, du paysage audiovisuel la quasi totalité des radios indépendantes. D'autre part, ce texte va aussi créer une commission de censure politique. Les subventions seront dorénavant subordonnées au contenu des émissions. Projet par projet. C'est la liberté d'opinion et d'expression qui est frontalement attaquée par une majorité parlementaire de plus en plus totalitaire.
Contre le vote de ce texte,
les radios associatives appellent à une
manifestation parisienne le samedi 11 mars.
L'autre jour, préparant un cours prochain où il faut voir ce que peut être l'analyse textuelle, j'ai décidé de travailler deux textes qui parlent contradictoirement du même sujet, l'emploi :
Or, pour travailler à l'analyse textuelle, on a le plus souvent besoin de fichiers en format txt ou rtf. Donc je convertis mes fichiers.
Quelle ne fut pas ma surprise ! Dans le document de l'ACFCI, les puces, qui, à la page 3, permet- tent d'énumérer les "vérités trop simples pour être entendues", se transforment, dans l'opération de conversion du pdf au rtf, en de petits glaives bleutés.
...
Un glaive pour dire que la productivité ne tue pas l'emploi !
Je trouve ça plutôt piquant !
Pas toi, fidèle et attentif lecteur ?
Un glaive ? Ou un poignard ? En tout cas, le discours libéral n'aura jamais été si violent qu'en ces temps de malheur !
Voici le message que je viens de recevoir de Bernard :
Bonjour,
Je chante dans une très modeste chorale de Charente Maritime. Je cherche des informations sur ce chant (negro spiritual ou gospel ?). J'ai vu qu'il existe des variantes, tant dans le texte que dans l'exécution chantée (rien à voir entre la partition des éditions Caillard et ce que j'ai entendu sur divers sites internet par exemple). Mais je n'ai pas trouvé d'indication d'auteur, de lieu et d'époque de "naissance" pour ce Soon I will... ou Soon A will... ou Soon Ah will be done.
Si vous pouvez m'éclairer, merci de grand coeur.
Personnellement, je n'ai pas la réponse aux questions de Bernard. Ce chant est au répertoire de mon ensemble vocal. C'est tout.
Reste que j'aime bien le chanter ! C'est vif et ça a du relief quand on le donne avec allant et nuances...
Je ne connais pas l'édition qu'en a donné Philippe Caillard. J'ai écrit mon édition à partir d'une copie manuscrite de je ne sais quelle version...
Bref, je ne serai d'aucun secours pour Bernard !
Si quelqu'un a des réponses à apporter, il peut commenter le présent message...
Ce serait sympa !