Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
BRICH59
ump
23 mars 2010

respecter le droit, respecter les gens

Ainsi l'UMP est encore une fois prise la main dans le sac du non respect du droit. Aujourd'hui on pourra parler du droit à l'image. Voyez l'Ordonnance de référé 15 février 2010 du Tribunal de grande instance de Paris concernant l'affaire Paloma P. vs l’UMP. Voyez aussi le petit commentaire publié sur davidtate.fr. J'aimerais bien qu'on en parle plus que ça... Les journalistes devraient faire ce travail de divulgation des manquements aux règles du droit des partis politiques, surtout ceux qui accaparent le pouvoir politique et économique. Non ?

D'ailleurs, ça fait un bout de temps, j'ai entendu, au cours d'un reportage radio sur les jeunes de l'UMP, l'expression "jeunes populaires" pour les désigner. Cela m'a choqué parce que cette reprise de l'expression banalisait le terme, en le sortant de son contexte originel d'auto-proclamation politique. Ces jeunes-là ne sont pas plus populaires que le maire de Neuilly roi d'Maubeuge, c'est un fait. Un fait politique, un fait sociologique. Dire qu'ils sont populaires frôle la désinformation. Les journalistes devraient vraiment faire attention à ce qu'ils disent !

Surtout quand on voit le score de ce parti politique aux dernières élections...


Publicité
Publicité
19 janvier 2010

HADOPI à l'UMP

L’UMP encore une fois épinglé pour non-respect du droit d’auteur…
Qui est à l’origine de la loi Hadopi, qui se veut une défense contre le pillage de la propriété intellectuelle ?

la suite sur resmusica.com


15 décembre 2009

no comment !

nm

2 décembre 2009

France helvète ?

Ainsi donc le  roi d'Maubeuge aurait parlé de l'affaire du referendum suisse. L'AFP rapporte les propos de quelques parlementaires UMP devant lesquels le Chef Suprême a mis cette affaire était dans le même sac que le débat sarkobessonnesque sur l'identité nationale et du "travail" actuel sur la question de la burqa.

Je cite : Il nous a dit que c'était l'illustration que les gens, en Suisse comme en France, ne veulent pas que leur pays change, qu'il soit dénaturé. Ils veulent garder leur identité. Selon l'analyse du Président, les Français ne veulent pas voir des femmes en burqa dans la rue. Mais cela ne veut pas dire qu'ils sont hostiles à la pratique de l'islam.

On notera d'abord le "en Suisse comme en France". Assimilation. Bon ! Je n'ai personnellement rien contre les Suisses, à part leur décision scandaleuse et ridicule à la fois d'interdire la construction de minarets sur leur territoire. Peut-être tout de même une raison de ne pas vouloir être pris pour un Suisse, non ? Ceci dit ça bouge en Suisse : la minorité qui n'a pas voté l'interdiction de la construction de minarets se fait entendre dans la rue ! Je veux bien être Suisse, tous comptes faits !

On notera ensuite l'idée que la construction de minarets "dénature" le "pays".
Quand on dresse, grâce au génial CNRTL, la liste des synonymes de 'dénaturer', cela donne (par ordre décroissant de proximité sémantique : altérer > déformer > corrompre > fausser > frelater > gâter > défigurer > dégrader > falsifier > dépraver > forcer > vicier > déguiser > pervertir > travestir > torturer > maquiller > changer > contrefaire > gangrener > violenter > tourmenter > tordre > mutiler > détourner > avilir > adultérer > tronquer > transformer > sophistiquer > estropier > empoisonner > corroder > avarier > ruiner > polluer > gauchir > faire violence > empoissonner > dénaturaliser > contorsionner > calomnier > affadir > abâtardir > trahir. Cela va donc d'altérer (rendre autre) à trahir (là je n'explique pas, le roi d'Maubeuge et sa cour le feront bien mieux que quiconque !).

La question est de savoir si les minarets dénaturent le pays ou le paysage... S'il s'agit de la défiguration du paysage, on remarquera qu'un minaret peut être très joli, comme certains clochers d'églises catholiques, et, en tous cas, bien plus joli que ces constructions élevées au siècle dernier à la gloire du capitalisme triomphant et qui ont dégradé nos villes.
S'il s'agit de la dénaturation du pays, alors il faut être clair sur ce dont on parle : le pays, c'est ici la division territoriale habitée par une collectivité, et constituant une entité géographique et humaine (toujours le CNRTL), avec son histoire et ses "us et coutume" comme disait l'autre jour un cador bien connu de la Cour du roi d'Maubeuge. Jusque là pas de problème. C'est quand il faut assigner des bornes à tout ça que ça devient problématique : les fameuses "racines judéotruc" sont-elles si fondamentales que ça ? Certains diront qu'historiquement elles sont premières. La question se pose alors de savoir quand commence l'histoire de France. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me rappelle ce que me disait un jour un copain algérien : à l'école, à Oran, on faisait réciter aux bambins (dont il était) "nos ancêtres les Gaulois"... La colonisation fait bouger les limites ! Et dépasser les bornes, non ? Bref, aujourd'hui la question est de savoir quand commence l'histoire de France, car la France, pays de langue romane mais de superstrat germanique, occupe la plus grande partie des anciennes Gaules celtiques, conquises par Jules César, mais elle tire son nom des Francs, un peuple germanique, dont le nom signifie « hommes libres », qui se forma tardivement et s’installa sur une partie des terres de l’Empire romain (Wikipedia). Aïe ! Aïe ! Aïe ! Die Französe sind germanisch ! Wir sind germanisch ! Damned !
Drôle, non ?

Je ne sais pas pourquoi, mais me viennent en tête les paroles d'une chanson de ce bon Hugues Auffray, une chanson de quand j'étais petit, une chanson des années soixante donc qui finissait sur l'idée que Dieu, en fait, était une femme et ... qu'elle était noire !


1 décembre 2009

Soyons vigilants !

Dimanche, à l'annonce de la nouvelle des premiers résultats officiels du referendum helvète, j'écrivais que la droite populiste (UDC) et la droite chrétienne (UDF) ont agité le chiffon rouge de l'invasion islamique, et les suisses n'y ont vu que du feu ! Pauvres suisses ! J'ai failli écrire que le conglomérat suisse ]UDC+UDF[ avait son pendant franchouillard dans l'équation ]FN+UMP[, mais je n'ai pas osé, craignant peut-être de n'avoir que trop raison ! Je me suis contenté d'un : Chez nous, les droites se ruent sur le débat nationaliste... Soyons vigilants !

Eh bien, c'est fait. Nos droitiers de service se sont engouffrés dans la brèche béante du racisme à deux balles certes mais meurtrier. Je dis "à deux balles" parce qu'il suffit d'être bête et méchant pour y aller. Je dis "meurtrier", parce que ce racisme-là a tué maintes fois en France, France métropolitaine et Maghreb colonisé.Le populisme de bas étage est vraiment de retour : on le voit ici, UMP = Union du Mouvement Populiste dont le FN, idéologiquement, n'est qu'une annexe.

La collision entre la mise en place contestable du débat sur l'identité nationale et le résultat du referendum suisse graisse particulièrement la planche déjà savonneuse où s'agite la cour du roi d'Maubeuge, notamment le sarko-traître Besson...D'un savon noir qui sent mauvais, qui pue la misère intellectuelle et affective de l'homme politique d'aujourd'hui, et d'où sort une odeur nauséabonde de relents qu'on préfère ne pas dater.

Que penser de l'à propos des propos tenus par les personnages en vue à la cour du roi d'Maubeuge, quand ils disent qu'il faut distinguer entre les religions qui étaient là (sur le territoire national) avant l'instauration de la République et celles qui sont arrivées après, quand ils mettent en avant nos prétendues racines judéo-chrétiennes comme un bouclier anti-islam, du moins anti-minarets, quand ils évoquent les règles d'urbanisme comme si un minaret était pour ne pas les respecter, quand... etc.? Les dirigeants UMP perdent la tête. Le débat sarkobessonnesque leur tourne l'esprit. Ils ne savent plus ce qu'ils disent !

Quand j'entends tout ça, j'ai, pour le coup, grande honte d'être français ! En tous cas, je ne m'y reconnais pas et ne comprends pas pourquoi je devrais être français comme ça ! Je n'ai pas les moyens d'émigrer, même si j'ai très mal à mon identité nationale...

Alors, que Moïse, David, Jésus et Mahomet - ou bien tout simplement Voltaire ! - les aident à mieux couler leur pensée dans les ruisseaux de l'humanisme, le vrai. Mais s'y sont-ils jamais seulement trempé le bout des pieds ?


Publicité
Publicité
30 novembre 2009

Jeunes populaires et mariages gris sur France-Inter

france_interDécidément, j'ai de plus en plus de mal  avec les médias, avec la fâcheuse habitude des journalistes et autres présentateurs de radio/TV de ne pas faire attention à la signification et à la portée des mots qu'ils emploient.

Dernier coup en date : ce matin entre 5h30 et 6h, sur France Inter, on raconte l'esbroufe des petits couillons de l'UMP parisienne qui décident de plonger dans la Seine mais évitent, on ne sait par quel miracle, d'être arrêtés sur la berge comme l'auraient été n'importe quels petits couillons pourvu qu'ils n'aient pas appartenu au mouvement du roi d'Maubeuge ... Bon ça, on a maintenant l'habitude de tels privilèges. Le plus fort, c'est quand la personne qui raconte emploie, pour désigner le groupe des petits couillons de l'UMP parisienne, l'expression "jeunes populaires".

Insidieusement, la machine rhétorique mise en place par le roi d'Maubeuge et ses conseillers il y a quelques années commence à produire ses effets : la peuple se reconnaît dans l'UMP. Magique, non ? À ce moment, je me souviens avoir râler d'une telle manipulation, me disant, non sans quelque malice - celle de l'humour, celle de la dérision -, que le bon peuple dans sa sagesse profonde verrait bien la supercherie, qu'il refusait d'être assimilé, avalé ainsi par la jet-set bling-bling qui aujourd'hui nous gouverne.

Aujourd'hui, je vois qu'il n'a rien vu du tout !
Il nous faudrait un Roland Barthes pour montrer comment ce mot de populaire est l'élément d'une construction mythifiante, comment la rhétorique sarkozienne vole et dénature la signification des mots, pour rendre le plus "naturel" possible la dictature qui s'installe aujourd'hui. À quand une émission de décryptage salutaire sur France-Inter ? 


Côté humour, le sarko-traitre Besson n'en a vraiment pas une goutte ! Je lis ce matin qu'il envisagerait de porter plainte contre France Inter, à cause de la chronique guillonnesque de mercredi 25 dernier : l’humoriste évoquait les mariages gris, prenant en exemple la jeune compagne tunisienne du sarko-traite...

Décidément France-Inter est bien mal-en-point !


4 novembre 2009

encore la rhétorique guerrière !

Selon l'AFP,

PARIS [3nov.09, vers 21h] — Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a "lancé l'idée d'un couvre-feu ciblé sur des mineurs délinquants" de moins de 13 ans, mardi soir, à Paris, lors des "rencontres de Beauvau" organisées avec des élus de la majorité présidentielle.

Je n'en dis pas davantage, voulant juste relever la rhétorique guerrière, si chère à notre gouvernement, mais si propice à la violence - de part et d'autre.


3 novembre 2009

Débat de la censure / Censure du débat

umpHier le national-félon Besson* a donc lancé le grand débat national sur l'identité nationale. Je pense qu'il aurait mieux valu lui confier le soin d'ouvrir et d'animer un grand débat national sur la traîtrise ;-))

Ceci dit, le débat est évidemment truqué, et ce, au moins de deux façons.

  1. L'identité nationale n'est pas un concept abstrait, malgré ce qu'on veut nous laisser croire. On peut certes l'illustrer de slogans : on a l'utopique "liberté, égalité, fraternité", on a eu le sinistre "travail, famille, patrie", etc. Sauf que ce ne sont que des slogans et que cela fonctionne selon les règles d'une rhétorique mercantile - à qui se réduit aujourd'hui, hélas, le discours politique.
    Quand je veux m'observer en tant que français, je me vois d'abord en tant qu'homme.
    Au diable la nationalité : un homme est un homme, une femme une femme, un enfant un enfant. En d'autres termes, pour poser la question de l'identité nationale, il faut d'abord mettre de côté sa propre humanité, et partant l'humanité en général. La belle affaire ! Il est clair que le nationalisme s'exacerbe en temps de guerre, c'est-à-dire en temps de violences où la nationalité autorise tous les violences... Où sont les ennemis ? Où sont-ils, ces gens dont la nationalité n'est pas la nôtre et lui en veulent ? En temps de paix, la question de l'identité est fatalement une question guerrière, voire une question belliqueuse, un pousse-à-la-violence, en quelque sorte.
    Bref, poser la question de l'identité nationale relève non seulement d'une négativité foncière - celle qui exclut l'autre qui n'est pas français - mais encore d'une négativité dont la face active est la violence, la violence guerrière... C'est ainsi qu'un gouvernement de la droite la plus dure ne peut qu'accoler la question de l'immigration (accueil de l'autre) à celle de l'identité nationale (exclusion de l'autre). Ceux qui nous gouvernent lance un débat dont le sort est connu : quand "les Français" débatte de l'identité nationale, ils règlent du même coup et quelles que soient les conclusions du débat la question de l'immigration. Les Français qui acceptent de débattre entre Français de l'identité nationale, acceptent de facto - voire sans s'en rendre compte -, la politique d'immigration qui maltraite les Autres (pour les exclure), qui dénie l'humanité à ceux qui ne sont pas Français.
    En toute logique, il y a ici vice de forme : le présupposé caché, intolérable parce que caché, ferme significativement la discussion en limitant l'humanité aux seuls Français ; on tourne en rond par le simple fait qu'il suffirait d'être Français pour pouvoir dire ce que c'est qu'être Français : autoqualification absolue qui ne supporte aucun commentaire latéral... Ce que je veux dire, c'est que la censure est ici intrinsèque : la simple position des termes du débat interdit nombre de positions théoriques et pratiques, comme celle qui consisterait à dire : "
    En tant que Français, c'est-à-dire par la force nationalo-identitaire dont je suis malgré moi le dépositaire, je ne souhaite pas que la question de l'identité nationale française soit ainsi posée. Par contre, en tant qu'homme, c'est-à-dire par la force humaine dont je suis porteur, je souhaite que la question de l'accueil de l'Autre ne soit pas mêlée à celle d'une identité nationale, hypothétique dans le meilleur des cas et belli­queuse dans le pire".

  2. 116719Ensuite, il y a, très trivialement, l'organisation même du soi-disant débat, notamment dans sa visibilité et dans la distribution de la parole. Ainsi des journalistes ont testé en envoyant au même moment sur le site dédié au grand débat national "ouvert" deux messages, l'un très sarkophile, l'autre sarkophobe. Et cela n'a pas manqué, le premier a été aussitôt mis en ligne, alors qu'on attend toujours le second...
    Comme dans nombre de pays non démocratiques - et ils sont fort nombreux, en tous cas,  comme tend à le montrer cet épisode français, bien plus nombreux qu'on croit ! -, la censure est ici extrinsèque. Le "modérateur" n'est qu'un vulgaire censeur : un grand classique de la tyrannie qu'aucun démocrate, français ou pas, ne saurait cautionner.
    [ajout du 8 nov. : j'apprends que des insertions abusives sont pratiquées sur ce site de la nationale-félonie = des propos de Besancenot et autres dirigeants de gauche sont repris comme si ces personnages avaient d'eux-mêmes posté des messages...; on touche le fond, non ?]

Bref, je ne participerai pas à ce débat-là !


félon ± déloyal, hypocrite, infidèle, malhonnête, méchant, perfide, renégat, scélérat, tartufe, traître, etc. ; vous aviez reconnu...


31 octobre 2009

Montesquieu, reviens !

Je lis dans la presse de ce matin que le roi d'Maubeuge a déclaré hier qu'il ne pouvait « faire aucun commentaire » sur le renvoi de Jacques Chirac en correctionnelle, en raison du « principe de la séparation des pouvoirs ».

Voilà qui est admirable, dans la bouche du tenant de l'un des pouvoirs ! Le baron de la Brède et de Montesquieu - je veux parler de Charles-Louis de Secondat (qui, en l'occurrence, reprenait une idée anglaise travaillée notamment par le John Locke) - doit frémir d'aise dans sa tombe plus que bicentenaire !

Sauf que :

  1. le tenant du pouvoir exécutif tient d'une main de fer le pouvoir législatif, malgré les dénégations ridicules des parlementaires concernés et les minuscules actions de diversion tentées ici ou là ;

  2. le tenant du pouvoir exécutif veut tenir d'une main d'acier trempée le pouvoir judiciaire - ce que montre avec suffisamment de clarté les réformes en cours en même temps que de nombreux événements récents.

Donc, quand le roi d'Maubeuge  avance l'idée qu'il respecte le  « principe de la séparation des pouvoirs », il ment, tout simplement, voulant imposer aux Français un préjudice psychologique grave qui s'appelle la schizophrénie socio-politique : le discours officiel dément la réalité telle que les Français - à qui s'adresse prioritairement le discours officiel - l'expérimente chaque jour de leur vie citoyenne. Et ce, quasi systématiquement. L'empoisonnement collectif se fait sur la durée, comme l'assassin qui empoisonne à petites doses mais régulièrement sa victime, jusqu'au jour où celle-ci meurt sans que l'on puisse identifier la dose de poison fatale... Je situe cette schizophrénie-là dans le droit fil de celle que le monde libéral marchand nous impose depuis des lustres et dont François Brune rend si bien compte.

Ceci dit, notre bon roi est bien à la peine avec ce renvoi de Jacques Chirac en correctionnelle.

Il est en effet très clair qu'il n'a pas vraiment intérêt que la droite française pense qu'il cloue son prédécesseur au pilori. Une partie de son électorat, encore attaché au personnage franco-parigo-corrézien, risquerait de lui en vouloir et de se détourner de lui lors des prochaines élections. Et comme il montre au quotidien qu'il est le maître absolu des Institutions - au lieu d'en être le simple mais indispensable gardien -, il a du mal à justifier les choses telles qu'elles se déroulent aujourd'hui. D'où la référence au baron de la Brède. Comme en désespoir de cause et pour justifier l'injustifiable.

Ceci dit, à l'heure où la commission des Affaires sociales de l’Assemblée crée une mission d’information sur les risques psychosociaux au travail, ne faudrait-il pas envisager une mission d'information sur les risques psychosociaux à la citoyenneté ? Je vois bien le sieur Copé reprendre cette superbe idée...

Je propose un JEU : on analyse tout ce qu'a fait  et compte faire notre homme politique à l'aune du principe de Montesquieu.

À VOS COMMENTAIRES !


25 octobre 2009

Dictature UMP contre politique de proximité

PARLEMENT_UMPpartiunikLe gouvernement du roi d'Maubeuge  poursuit son œuvre de sape de la démocratie républicaine : la décentralisation patiemment construite depuis près de trente années est purement et simplement mise à bas.

Le parti majoritaire, aux ordres du monarque et de son gouvernement, décoche, l'une après l'autre, les flèches empoisonnées contre les pouvoirs qui ne sont pas bienvenus à la cour. Pauvres députés UMP et consorts ! Ils sont en train de museler les régions : il faudrait dorénavant que les vassaux régionaux fassent approuver leur projets par le pouvoir royal pour avoir les moyens de les mener à bien. Triste rétrogradation en vérité ! Mouvement absolument contraire à toutes les évolutions européennes voisines ! Mouvement absolument antinomique avec le progrès démocratique.
Cela ajouté au despotique charcutage nous promet des lendemains qui déchantent...

Le dernier communiqué de presse de l'Association des Régions de France est, de ce point de vue, très éloquent.


Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 261 384
Publicité