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BRICH59
histoire_de_la_documentation
7 décembre 2010

Pour en finir avec le "questionnement quintilien"

C'est bientôt la saison des épreuves orales du CAPES de documentation, avec sa floraison spontanée d'affirmations péremptoires et de stéréotypes que seule la rumeur confirme. Par exemple ce fameux Marcus-Fabius Quintilianus, que les francophones rebaptisent Quintilien. Ce dernier est vraiment mis à toutes les sauces, même quand ce n'est pas vraiment justifié. Mettre Quintilien dans sa tambouille, ça fait bien et ça ne peut pas faire mal. Alors il est de toutes les cuisines. Le pauvre homme est tellement célèbre qu'on va même jusqu'à faire de son nom un adjectif qualificatif dans l'expression "questionnement quintilien" ! Comme si on parlait de "politique sarkozy" (avec un 's' minuscule donc) pour évoquer une politique gesticulée bling-bling ultra-libérale américanophile etc. N'importe quoi ! Non ?

En fait, on prête à ce Quintilien - qui serait né à Calahorra (Callaguris), ville de l'Espagne Tarragonaise, mais professa la rhétorique à Rome au Ier siècle après JC après une brillante carrière d'avocat - un fameux vers mnémotechnique constitué d'une enfilade de questions dressant une sorte de check-list : "quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando", c'est-à-dire "qui, quoi, où, avec quels moyens, pourquoi, comment, quand". En fait, et quoi qu'on en dise depuis fort longtemps, ce vers n'existe pas chez Quintilien - du moins dans ce qui nous reste de ses écrits attestés et à moins que j'ai manqué quelque chose... Comme quoi il faut TOUJOURS vérifier ses informations et ne jamais croire quiconque sur parole. Le Petit Larousse serait de la partie que cela de changerait rien à l'affaire.

Pour revenir à notre "questionnement", il s'agirait plutôt de ce qu'Hermagoras de Temnos - un grec, professeur de rhétorique exerçant à Rome au Ier siècle avant JC - prônait quand il proposait une liste des éléments à prendre en compte pour l'étude des "cas oratoires", éléments qu'il nommait les "circonstances" : la personne, l’acte, le temps, le lieu, la cause, la manière, le moyen. Quatorze siècles plus tard, Thomas d'Aquin (Summa Theologiae, Iª-IIae q.7 art.3) reprendra l'affaire en élargissant cette structure de questionnement à l'action humaine en générale et en attribuera la paternité à un contemporain bien connu d'Hermagoras, à savoir Cicéron (pour les latinistes : Tullius, in sua rhetorica, assignat septem circumstantias, quae hoc versu continentur, quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando. Considerandum est enim in actibus quis fecit, quibus auxiliis vel instrumentis fecerit, quid fecerit, ubi fecerit, cur fecerit, quomodo fecerit, et quando fecerit.).    

Faute d'élément fiable de preuve, on se contentera donc de dire que ce type de questionnement méthodique était dans l'air du temps à Rome au Ier siècle avant JC et qu'il ne trouve pas son origine chez Quintilien, au siècle suivant. Il faut savoir qu'il a de tous temps été utilisé dans le cadre de l'instruction criminelle, par exemple. Il fait également traditionnellement partie de la technique d'écriture journalistique, etc. Voyez dans la biographie que l'infatigable Marie-France Blanquet lui consacre dans Savoirs CDI - et ceci n'est qu'un exemple des nombreuses exploitations de notre check-list - ce qu'en fera Harold Dwight Lasswell.

Plus simplement, la démarche analytique d'un Ranganathan ne relève-t-elle pas de la même volonté de dégager des "catégories fondamentales" de l'information.
Vieux propos qui plonge ses racines dans la pensée grecque, dont témoigne le travail d'Aristote sur les différentes façons d'employer le verbe 'être' (Catégories).

Et si, au lieu de chercher des autorités pour s'autoriser à penser, les documentalistes se mettaient à penser par eux-mêmes ?


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25 février 2010

Paul Otlet et la bibliologie

J'étais à Mons en Belgique aujourd'hui : l'équipe du Mundaneum organisait un colloque. Passionante journée !

Stéphanie Manfroid, historienne archiviste et maitresse de cérémonie, nous a parlé de Paul Otlet et l’expérience du Musée International (De la dimension muséale à la présentation synthétique et didactique des connaissances).
Puis Jacques HELLEMANS a retracé ce qui avait conduit au fameux congrès international de 1910.

En deuxième partie de journée, nous avons entendu trois conférenciers :

  • Sylvie FAYET-SCRIBE nous a raconté comment elle était passée du travail historien à l'écriture romanesque ;

  • Felix SAGREDO FERNANDEZ ayant été empêché (grève d'avions), un des membres de l'équipe du Mundaneum a lu le papier qu'il avait préparé sur le thème de la création de la carte de San Franciso des Nations unies et la constitution européenne et du rôle éminent joués par les "documentalistes" Paul Otlet et Henri La Fontaine ;

  • Robert ESTIVALS a évoqué avec une force pédagogique hors du commun le rôle clé de Paul Otlet dans l’histoire de la Bibliologie.ScanImage001

En dernière partie,

  • Marie-France BLANQUET a évoqué le cercle des contemporains de Paul Otlet, précurseurs comme lui des sciences de l'information (voir les formidables portraits écrits par Marie-France sur SavoirsCDI) ;

  • Jorge Rodrigues FERREIRA a dressé l'histoire des relations entre Paul Otlet et les portugais Raúl Proença et Jaime Cortesão (de la direction de la Bibliothèque Nationale du Portugal).

Que du bonheur à entendre toutes ces paroles d'où émerge un personnage universel dans ses désirs et concret en son humanité !

J'ai profité d'être au Mundaneum pour acquérir le dernier ouvrage sorti des presses des Impressions nouvelles, Paul OTLET, fondateur du MUNDANEUM (1868-1944). Architecte du savoir, Artisan de paix. Et pour acheter le DVD de Françoise Levie (je n'avais qu'une mauvaise copie VHS de la diffusion de son film sur la RTBF)...


1 septembre 2009

12. Poétique de l'écriture scientifique

Cours destiné aux étudiants qui, dans le jardin de l'UFR des Langues et Cultures Antiques de Lille3, empruntent le parcours "Humanités - Sciences de l’information"... Sciences et écriture(s) ? Les productions textuelles étudiées font partie du corpus antique, médiéval et des époques dites "moderne" et "contemporaine". Incursion finale, éventuellement, chez un certain Paul Otlet... Première session début 2010.


1.

Un petit travail sur la poétique en général, voire sur la "critique textuelle", ne fera pas de mal. L'Introduction aux méthodes critiques pour l'analyse littéraire de Daniel Bergez &Cie (1990) fera sûrement l'affaire, notamment sa dernière partie, due à Gisèle Valency. On pourra partir de ce texte pour construire un schéma de ce que peut être la critique textuelle (et comment elle fonctionne)... D'autres contributions plus anciennes pourront donner le change :

  • l'article "Écrivains et écrivants" de Roland Barthes (Arguments, 1960, n°20 - repris dans Arguments/3 : Les intellectuels/La pensée anticipatrice, Paris, UGE, 1978 (10/18) , p. 145-156)

  • Le chapitre "La poétique" de Jean-Yves Tadié, La critique littéraire au XXe siècle (1987, puis 2005)

  • l'article "Poétique" dans l'Encyclopædia Universalis (T. Todorov & J.-M. Schaeffer)
    [une fois que vous ouvert la page de l'Encyclopédie depuis l'intranet de Lille3, cliquez ici]

  • l'article "Critique littéraire" dans l'Encyclopædia Universalis (A.Compagnon)
    [une fois que vous ouvert la page de l'Encyclopédie depuis l'intranet de Lille3, cliquez ici]

Une lecture schématisante partagée de ces textes permettra de discuter des grands enjeux et des formes principales de la poétique.

Une attention particulière sera portée à l'ouvrage d'Yves Jeanneret (1994), notamment à son chapitre 4 : éléments de poétique. Sa lecture collective fera l'objet de l'une des dernières séances.


2.

D'autres textes (ici classés chronologiquement) pourront être travaillés, comme autant de questionnements à observer finement :

  1. l'article "Poétique mathématique non-probabiliste"de Solomon Marcus, in Langages, 3, 1968, n°12, p.52-55
  2. l'article "Théorie du texte" de Roland Barthes  (Encyclopædia Universalis, 1973)
  3. l'entretien avec Meschonnic, "La poétique tout contre la rhétorique" (1998)
  4. "Les produits d'information scientifique" de Dominique Lerinckx (1999)
  5. l'article "Science, philosophie, littérature" de Pierre Macherey, in Textuel, 37, 2000, p.133-142
  6. l'article "Écriture, prose, et les débuts de la philosophie grecque" d'André Laks, in Methodos, 1
  7. l'article "Autour du livre scientifique documentaire : un dispositif de médiation entre adulte et enfant lecteur" de Nathalie Auger et Daniel Jacobi in Aster, 2003, 37
  8. l'article "Formats d’écriture et mondes scientifiques : le cas de la sociologie" de David Pontille in Question de Communication, n°3, p. 55-67
  9. l'article "La publication scientifique : l'avis d'un chercheur" de Georges C.Lognay in Cahiers de la documentation, 2
  10. l'article "La science et sa communication" d'André Roucoux in Cahiers de la documentation, 2
  11. l'article "Les faces cachées du texte scientifique" de Nathalie Vuillemin in Labyrinthe, 3, p.131-134
  12. la contribution "La réception peut-elle faire le livre scientifique ? Lectures de Du Bartas" de Violaine Giacomotto lors du séminaire Le livre scientifique, année 2006-2007
  13. l'article "Matérialité des écrits scientifiques et travail de frontières : le cas du format IMRAD" de David Pontille , in P. Hert et M. Paul-Cavallier (eds.), Sciences et frontières, Fernelmont, E.M.E., 2007,  p. 229-253.


3.

EN CONSTRUCTION
L'écriture scientifique sur la toile :

SOURCES :

mais aussi


4.

Schéma du cours introductif : ici.
       "Grille" pour l'analyse textuelle, suite au cours introductif : .

Schémas des topos suivants : Antiquité, Moyen-Âge, époque moderne, XVIIIème siècle, scientisme du XIXème siècle, vulagrisation scientifique des XIXème et XXème siècles.

mis à jour le 24 février 2010
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11 août 2009

Paul Otlet a sa page !

Étonnant ! Paul Otlet a sa page FaceBook !

Au-delà du fait qu'on pourrait très légitimement se poser la question de la légitimité à faire parler ainsi les morts, il y a là une utilisation des réseaux qui pourrait bien s'avérer très utile pour les fans du "belge fou". Je m'y suis inscrit par grande curiosité...

facebookOTLET


21 juillet 2009

Disparition programmée de la Direction des archives de France

Pétition lancée par l'Association des archivistes français
Date de création : 17-07-2009
Date de clôture : 31-01-2010

Disparition de la Direction des archives de France : on détruit un outil indispensable à la démocratie.
L’Association des archivistes français déplore la disparition de la Direction des archives de France, diluée dans une « Direction générale des patrimoines de France », dans le cadre de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Cette réorganisation, prévue dans un contexte d'austérité, s'accompagne d'une baisse réelle des effectifs. Elle met en cause à moyen terme la visibilité de la fonction archives voire son existence même.

1) Les archives sont un outil majeur pour l’exercice de la démocratie. Elles constituent l’arsenal juridique et informationnel de l'État et des collectivités territoriales.
L’organisation des archives dès leur production s’inscrit dans le cadre de la défense des intérêts de l’Etat et des pouvoirs publics. Un dossier se constitue et se conserve de façon active et volontaire, et non de manière passive et hasardeuse. Les archives électroniques plus encore que les autres ne peuvent être préservées si on ne se préoccupe pas de leur traitement.
La transparence administrative et le droit pour chacun de connaître les raisons des décisions de ceux qui le représentent ainsi que leur mise en œuvre ne peuvent exister sans une organisation archivistique élaborée.
Or les archivistes savent bien qu’ils ne sont reconnus comme crédibles pour faire face à des destructions abusives que s’ils peuvent avoir recours à une autorité forte et clairement identifiée par l’ensemble de leurs partenaires (et non pas à un sous chef de bureau par exemple). Affaiblir cette autorité, c’est retourner à une situation vécue au XIXème siècle et qui a eu comme conséquence des pertes désastreuses de documents fondamentaux.
C’est aussi, alors qu’une nouvelle loi renforce les droits des citoyens en matière de transparence administrative et d’accès aux documents, la condamner rapidement à ne pas être véritablement appliquée.

2) Les archives constituent une des principales sources de l’information du citoyen et de la recherche historique. Elles construisent au quotidien la mémoire de demain.
L’affaiblissement du pilote du réseau, et de ses moyens d’action, fait planer une menace sur l’accomplissement de l’ensemble de ses missions
Le respect des règles et la normalisation des pratiques de traitement des archives sont des conditions sine qua non d’un État de droit. Le réseau des services agissant actuellement sous le contrôle de la Direction des archives de France comporte un millier de services d’archives, gouvernementales, territoriales et d’organismes privés chargés de missions de service public. Il a besoin d’une tête solide et visible pour l’animer et lui fournir un cadre normatif. La garantie pour les pouvoirs publics, les citoyens et les chercheurs de retrouver une information fiable et intègre passe par le maintien et même le renforcement de cette structure.
Pour toutes ces raisons, l’Association des archivistes français (AAF), qui représente une large majorité des responsables et des professionnels des services d’archives publics et privés, ne peut se résigner à ce gâchis.
Nous, signataires de cette pétition, soutenons l’action de l’AAF et demandons que la fonction archives soit maintenue et développée à un haut niveau de l’État, visible, avec des missions renforcées de contrôle sur les archives publiques, d’appui pour les services d’archives publiques et privées, disposant des moyens nécessaires pour faire autorité vis-à-vis des administrations et des élus de tous niveaux et piloter efficacement le réseau.

Pour lire les communiqués de l’AAF : http://www.archivistes.org/rubrique.php3?id_rubrique=37
Pour prendre connaissance des actions de l’intersyndicale CGT-CFDT contre la RGPP dans les archives, voir les sites  de la CGT Archives et de la CFDT Culture...

Pour signer, c'est .


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24 avril 2006

11.Approche historienne de la documentation et des techniques documentaires. Éléments

Pour les ateliers de lecture historienne, c'est ici !
Attention : document sous mot de passe ;-)

Dans le cadre d'une unité d'enseignement consacrée à l'approche historique de la documentation et des bibliothèques, mon intervention tente de marquer les spécificités de la "documentologie" par rapport à la bibliothéconomie d’où elle est, en quelque sorte, issue. Pour ce faire, quelques temps forts sont évoqués, de l’œuvre de Paul Otlet aux pratiques actuelles de la veille stratégique.

 

 


Quatre coups de projecteurs seront ainsi portés sur des points topiques du développement de la pratique documentaliste :

  1. Paul Otlet et les débuts de la documentation

    La personnalité d'Otlet et surtout son œuvre maîtresse - il s'agit bien sûr de son Traité de Documentation [OTLET P. [1989]. Traité de documentation. Le livre sur le livre. Théorie et pratique. Liège, CLPCF, XVII, 431 p.] publié en 1934 - seront évoquées lors d'une première séance. Pour aider à la lecture de cette somme dont la fréquentation est toujours très recommandable, je propose une table synthétique des matières dynamique (ou sous la forme du petit fichier Otlet.chm à télécharger) qui permettra d'entrer dans l'ouvrage d'OTLET.
    Par ailleurs, il est intéressant de comprendre ce que Paul Otlet appelle LE Problème de la Documentation : petite animation dont l'ouverture nécessite un mot de passe.
    Bibliographie partielle.

    Paul_OTLET_en_son_réseau

  2. La question des langages documentaires
    Les langages documentaires, de leur préhistoire (états pré-documentaires) à l'émergence des thésaurus : une montée en puissance de l'information (cf. par exemple le rapport Weinberg1963) ; tout ceci en passant bien sûr par la CDD et la CDU.
    Bibliographie partielle. Voyez également la grande bibliographie de l'IUT2 de Grenoble sur l'organisation des connaissances en France du point de vue des sciences de l'information.

  3. Professeur-Documentaliste, un vieux nouveau métier
    Des velléités de Dewey à la mise en place du CAPES de Documentation et au "référentiel métier" de la Fadben, en passant par Célestin Freinet (Pour tout classer) : convictions et hésitations. Plus récemment, PACIFI, Repères pour la mise en œuvre du parcours de formation à la culture de l’information.
    Bibliographie partielle.
    Trouvé sur le blog des DEUST2 2006/2007, une intéressante page concernant la pédagogie Freinet (Martine Fournier), "Enquête sur les pédagogies alternatives" - dont je me suis autorisé à produire une édition pdf pour celles et ceux qui ne sauraient lire les '.doc'.

  4. Les métiers de l'information-documentation
    De la revendication de Suzanne Briet (Qu'est-ce que la documentation, 1951, période où se crée l'INTD) à l'Euroréférentiel I&D diffusé par l'ADBS, association des professionnels de l'information et de la documentation : des chemins empruntés.
    Bibliographie partielle. Les deux volumes de l'Euroréférentiel I&D ne sont plus en ligne [!!!]. On pourra, en échange, utiliser le schéma que j'ai concocté un jour pour les besoins d'un atelier de symposium [pdf ou html].

Structure des quatre temps 

 

Et comme, chez les formateurs, tout finit par des schémas, en voici un qui veut servir d'outil de première analyse des institutions d'information / documentation au sens très large du terme... Ce schéma s'est construit au fur et à mesure des lectures engagées pour préparer ce cours sur l'histoire des techniques documentaires, afin de proposer un cadre de réflexion commun ("basique") aux événements qui peuplent l'histoire bien fournie de l'IDIST (Information Documentation / Information Scientifique et Technique) - ce qui à mon sens recouvre aussi les bibliothèques et les musées...

Un tel schéma fonctionne bien sûr depuis Paul Otlet, au sujet duquel je parodierais bien ce contemporain britannique de Paul Otlet que fut Alfred North Whitehead et qui, en 1929 (Process and Reality) disait de la tradition philosophique européenne qu'elle n'avait jamais qu'ajouté des notes au bas des pages du texte platonicien ["The safest general characterisation of the European philosophical tradition is that it consists of a series of footnotes to Plato."]. Depuis 1934, la communauté de l'IDIST ne fait-elle autre chose que de parcourir, aménager et prolonger les rails tracés par le Mondanéen ?


Petit ajout pour celles et ceux qui veulent s'initier rapidement à l'histoire qui conduit de la classification des choses et des savoirs aux classifications documentaires... Cette petite animation s'ouvre avec un mot de passe spécifique.


mise à jour : 2 juillet 2010
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