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BRICH59
30 novembre 2006

Biscantor! en concert le 3 décembre prochain

biscantorVous connaissez Biscantor!
Je vous en parlais dès juin 2005
...
Venez les écouter ce 3 décembre !      

Le chœur de jeunes de 18 à 28 ans interprètera quelques pièces "classiques"
sous la direction de Maurice Bourbon
et vous proposera d'autres choses moins classiques (improvisations, chants traditionnels,...)
sous la direction de Nadège Romer.

Cela se déroule à Saint Joseph,
dans le quartier de l'Alma de Roubaix,
dimanche 3 décembre à 16h.
L'entrée est libre, alors VENEZ NOMBREUX !


            

            
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24 novembre 2006

Nouvelles de la mort

Les cinq premiers titres des infos quotidiennes de TV5MONDE ce matin :

  • Irak: au moins 152 morts dans l'attentat le plus sanglant depuis 2003 - 23/11/2006 20h11 GMT
  • Philippe Noiret, l'hédoniste élégant, est mort - 23/11/2006 20h08 GMT
  • L'ancien espion russe Litvinenko, opposant à Poutine, est décédé à Londres - 24/11/2006 00h27 GMT
  • Un policier tue par balle un supporteur du PSG et en blesse un autre - 24/11/2006 00h31 GMT
  • Liban: adieu populaire à Beyrouth pour Pierre Gemayel - 23/11/2006 22h37 GMT

La mort est reçue cinq sur cinq ce matin.
Le message de TV5 dans ma boîte aux lettres en atteste.
Une belle journée qui s'annonce...

Les hommes sont mortels. Certes.
Les hommes sont fous. Certes.
La folie morbide et mortifère serait ainsi la chose la mieux partagée ?


22 novembre 2006

Nymphes des bois

afficheNdB
Avec

CŒLI ET TERRA - chœur
la CIE COQUELICOT - comédiens
Bogdan Nesterenko - accordéon


Nymphe des Bois est un spectacle à la mémoire de Josquin Desprez, le plus grand compositeur de la Renaissance.

Après la première à La Condition Publique de Roubaix en mai dernier,

DEUX REPRÉSENTATIONS en DÉCEMBRE 2006

Mardi 12 décembre 20H30 à WASQUEHAL
Salle Gérard Philipe (Résa. 03 20 01 08 20)   

Jeudi 21 décembre 20H30 à TEMPLEUVE
Eglise (Résa. 03 20 05 97 63)

Si vous avez manqué la première représentation de ce spectacle musical original, vous pouvez vous rattraper... Voici quelques photos de la première.

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22 novembre 2006

Pas d'excuses !

Monsieur Sarkozy dit ceci :

« Si on excuse la violence aujourd'hui,
il faut s'attendre à la barbarie demain »

M_tro061122Précisément !
C'est au nom de cette prudence que nous devons tous être très très vigilants sur les justifications qu'apporte ce "ministre = candidat Président = chef d'appareil".

Précisément !
C'est au nom de ce constat que nous devons dénoncer le passé parfois violemment d'extrême droite de certains des collaborateurs rapprochés de ce "ministre = candidat Président = chef d'appareil".


21 novembre 2006

N'oubliez pas la Tchétchénie !

Je repasse, mais en format image cette fois, l'info concernant la manifestation de samedi prochain

A5_Page_1


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Pour mieux lire le visuel, cliquez dessus... ou bien retournez sur l'info de la semaine dernière.


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18 novembre 2006

Le métier de formateur..., jusqu'où ?

Tel était l'intitulé de l'atelier que je devais animer hier après-midi - dans le cadre d'une journée consacrée, au CUEEP, à la présentation de plusieurs travaux publiés ou en cours de publication, le tout centré à la fois sur la problématique des compétences-clés recommandées par la commission européenne et sur les pratiques d'accompagnement qui de plus en plus jouxtent les pratiques simplement pédagogiques, voire s'imbriquent en elles.

Le métier de formateur..., jusqu'où ?

Ça me rappelle inévitablement le travail que nous avions entrepris au CUEEP il y a deux ans et demi et qui avait donné lieu à bilan sous ma plume, partiellement repris sur ce blog. Le formateur était affublé d'une triple mission, dont celle d'accompagner l'apprenant... Accompagner, certes, mais, encore une fois, jusqu'où ? Et puis jusqu'où peut-on aller en injonction adressée au formateur, hors celle de "former" ?

Question large, très ouverte, très contemporaine aussi.

Pour camper le paysage problématique de cette question, j'ai proposé de réactiver quelques questions, plus ou moins récentes.


ÉDUQUER / FORMER
Vieille dichotomie. Vieux débat. Dès les années soixante, la question de la finalité ultime de la formation, de l'objectif visé en dernière instance. Question de l'image qu'on se fait de l'humanité. Vieux débat, mais toujours actuel, toujours actualisable.
Trois objectifs sont ainsi assignables à la formation/éducation :

  1. Objectif citoyenneté.
    Dans le prolongement de l'objectif religion. Il y a très longtemps on apprenait à lire sur la Bible. Depuis Condorcet et les autres, c'est aussi sur le Contrat social.
    L'objet de référence a changé. L'objectif de formatage est toujours actif - qui se disait déjà chez les stoïciens romains par exemple (n'est-ce pas ce bon Ciceron qui disait quelque chose du style : la liberté c'est le respect des lois ?).

  2. Objectif autonomie et esprit critique.
    C'est plus récent. Déjà les Lumières, certes. Mais manifestation la plus généreuse et la plus accomplie avec des gens comme Bertrand Schwartz, Jacques Delors, etc. Humanisme social-démocrate.

  3. Objectif "armée industrielle de réserve".
    Moins glorieux comme finalité. Moins explicité, bien sûr.
    Il faut oser, quand on est formateur, avouer cela.
    Relire Karl Marx et la lecture qu'en fait Rosa Luxemburg. Puis lire Accardo.

FORMATION / EMPLOI
Puis vient la question de la liaison entre formation et emploi, la fameuse "introuvable relation" (1986) - qui, pour introuvable qu'elle soit, a connu diverses modalités d'existence.

  1. La formation comme accès à l'emploi.
    Souvenez-vous des premiers centres de FPA, Formations Professionnelles Accelérées, de ce qui allait devenir l'AFPA. On est juste après guerre, au début des "trente glorieuses". Il faut reconstruire le pays, former rapidement une main-d'œuvre ... La formation sur fond de quasi plein-emploi.

  2. La formation comme gestion du non-emploi.
    Milieu des années soixante-dix, fin des "trente glorieuses". Le chômage de masse fait son apparition. Dix ans plus loin, c'est le chômage dit de longue durée qui pointe son nez. Le chômage de masse (notamment celui des jeunes) et le chômage de longue durée (notamment celui des personnes n'ayant qu'un "bas niveau de qualification") sont toujours là. La formation gère tout ça à sa façon.

  3. La formation outil de culpabilisation des bas-niveaux de qualification.
    Dans les années quatre-vingt, c'est l'employabilité qui pointe son nez, comme concept régulateur ou plutôt justificateur du chômage de masse et du chômage de longue durée. Une façon comme une autre de faire porter aux personnes au chômage la responsabilité de leur propre misère. Une façon de camoufler la formation de "l'armée industrielle de réserve". Il est bien connu que la meilleure façon de contenir la révolte est la culpabilisation des masses... Accuser l'autre des crimes que l'on commet à son encontre, faire accroire à l'autre qu'il est la cause des maux qu'on lui cause, vieille tactique de prétoire...
    En complément au travail de Laurent Cordonnier (Pas de pitié pour les gueux).

  4. La formation comme outil de reconnaissance individualisée.
    C'est tout récent, comme la VAE, mais avec des antécédents, comme la VAP. Avec un élargissement du champ de compétence de la logique formation, élargissement qui fait passer du travail en emploi à l'activité en général du moment qu'elle est celle de l'individu. Envers positif de la dynamique de culpabilisation mentionnée ci-dessus, l'une des fonctions essentielles d'une démarche VAE étant, à mes yeux, de permettre positivement un travail de reconstruction de l'image de soi que l'école ou tout simplement la vie avait brisée, de favoriser la déculpabilisation qui s'en était suivie. Mais trop peu de très officiels "accompagnateurs" (au sens large) ont conscience, hélas, de cette chance formidable que propose l'accompagnement en VAE : aider la personne dont la société a cassé ou simplement amoché tout un pan de vie, aider cette personne à reconstruire son image, son histoire, l'image de son histoire afin de se rendre présentable aux yeux des autres, à ses propres yeux ! J'en ai même vu qui en rajoutaient une louche de négativité culpabilisante, enfonçant le clou là où ça souffre, appuyant sur la tête de celui ou celle qui veut sortir de l'eau, parachevant ainsi la travail de sape sociale... Là encore relire Accardo.
    Je suis convaincu du bien-fondé de l'idée selon laquelle il serait nécessaire que chaque "accompagnateur" soit d'abord accompagné dans un travail sur l'image de soi, avant d'être habilité à toucher à quoi que ce soit de la vie des autres. Cela éviterait bien des maltraitances symboliques...

Et les COMPÉTENCES-CLÉS dans tout ça ?

  1. La recommandation européenne date de novembre 2005. Mais tout ceci est une vieille histoire. L'Éducation Nationale déjà avec les CAPUC dans les années soixante-dix. Puis l'OCDE plus récemment. Au Québec également... Les documentalistes de l'INRP ont fait un dossier très intéressant.

  2. Cette recommandation peut être comprise comme aboutissement provisoire, comme stabilisation actuelle de cette histoire. Elle doit être envisagée surtout dans une dynamique d'homogénéisation des pratiques de certification au niveau européen et mondial...

  3. Elle doit en fin de compte être resituée dans la perspective questionnante des deux dichotomies pointées ci-dessus. Que signifie cette recommandation du point de vue de la dichotomie Éduquer-Former ? Comment fonctionnent les compétences-clés dans la mécanique si complexe de la relation Formation-Emploi ? Etc.


Voilà pour le cadre général qui pouvait faire toile de fond à la présentation des travaux de l'AROFESEP d'une part (Brigitte Kaiser, de l'ILEP) et du binome de chercheurs du laboratoire Trigone d'autre part (Pascal Roquet et Jean Clénet).

Tout d'abord la présentation du projet EQUAL Re-Co-Naître l'Éducation Permanente. Projet qui veut réactiver l'idée et les pratiques d'une authentique éducation permanente. À voir absolument le site concocté dans le cadre de ce projet européen : Reconnaître l'éducation permanente. Plein de bonnes choses y sont proposées, pour s'informer, réfléchir...
Nous étions quelques uns dans la salle à écouter Brigitte Kaiser et en même temps être assaillis de souvenirs des temps de fondation de l'éducation permanente dans notre région (les Actions Collectives de Formation nées au début des années soixante-dix, notamment). Personnellement des émotions d'ancien combattant désabusé ont tenté une percée dans mon lobe temporal interne...
Par exemple, la mise en avant de la priorité nécessaire aux personnes éloignées de la formation, celles qui constituaient dans le langage des années de fondation les "non-publics de la formation". Pensée pour Jacques Hédoux qui en fit le sujet de sa thèse de sciences de l'éducation.
Par exemple, la question de la proximité culturelle entre formateur intervenant et public de la formation, question des "formateurs issus du milieu" comme on disait il y a trente-quarante ans. Question qui produit les images d'une sorte de consanguinité sociale indispensable au "bon" développement de l'éducation populaire et permanente. Question jamais vraiment travaillée scientifiquement. Peut-être parce que le constat que pouvait faire le sociologue était décevant du point de vue de la consanguinité : les formateurs "issus du milieu" se démarquaient de leur milieu d'origine en devenant formateurs précisément. En tout cas question qui à l'époque produisit de l'ostracisme évidemment abusif et contraire au respect des droits de l'homme les plus élémentaires, du style ton père est bourgeois donc tu n'as pas le droit d'intégrer le "milieu local" de l'éducation permanente, etc. Ça frôlait le fascisme (relisez Matin brun de Franck Pavloff). C'était du racisme dans sa forme la plus conventionnelle, celle-là même que les militants du "milieu local" - ceux qui auto-intrônisaient "Force vive", "Avant-garde", etc.- combattaient avec raison lorsque les mineurs d'origine étrangère étaient maltraités par les HBNPC ou par la bourgeoisie locale...

Bref, stoppons-là les souvenirs et revenons à hier 17 novembre 2006 ! Revenons à cette injonction faite aux formateurs d'accompagner. J'ai juste quelques questions.

Question 1
L'accompagnement, comme compétence du formateur, qu'est-ce que ça veut dire ?

  • Posture sociale / Posture professionnelle ?
  • Savoir-faire d'expérience / Compétence apprise ?
  • Problème éthique / Question de déontologie ?
  • Engagement individuel / Manipulation sociale ?
  • etc.

Question 2
Demander de nouvelles compétences aux formateurs, qu'est-ce que ça veut dire dans le mouvement d'intensification et de précarisation du travail que nous connaissons depuis plusieurs années dans notre secteur ?

Question 3
Développer des compétences comme l'esprit d'entreprise (une des compétences-clés de la recommandation européenne) auprès de nos publics au chômage, ça signifie quoi pour ces publics, par rapport à eux-mêmes, et par rapport à la formation de l'"armée industrielle de réserve" ? Et ça signifie quoi en termes de compétences du formateur dans la relation pédagogique ?


17 novembre 2006

Halte aux violations des droits humains en Tchéchénie

groznysv3

avec Amnesty International,
l’Association Nord-Tchéchénie
et l’Association Serlo

à la Maison de l’Education Permanente,
1 place Georges Lyon
à Lille


Et la Tchéchénie ?
Grand Rencontre régionale inter-associative

  • Ouverture au public à partir de 15h30
  • de 16h00 à 17h00 : conférence/débat sur

    la situation politique et les violations des droits humains en Tchétchénie

    Les invités :
    Aude Merlin
    , Universitaire spécialiste de la Russie (Université libre de Bruxelles), 
    Anne Nerdrum
    , responsable de la coordination Fédération de Russie pour Amnesty International France,
    Sultan Iachourkaev
    , réfugié tchétchène en Belgique, auteur du livre « Survivre en Tchétchénie » (sous réserve)

  • de 17h30 à 18h30 : conférence /débat sur

    la situation humanitaire en Tchétchénie et
    la situation des réfugiés tchétchènes en Europe

    Les invités :
    Franck Carrey
    , Médecin responsable de l’ONG Médina Solidarité,
    Tina Ismaïlova
    , présidente de l’association des tchétchènes de Belgique,
    Ramzan Ampukaev
    , vice-président du congrès mondial tchétchène

  • Tout au long de l’après-midi :
    musiques traditionnelles tchétchènes, films, expo-photos et spécialités culinaires.

  • 20H30 :
    bal folk
    animé par le groupe Absynthe et des musiciens Tchéchènes

Entrée libre - participation bienvenue - petite restauration
Table de presse, informations, documents, actions ...

En hommage à
Anna Politkovskaïa,
journaliste russe assassinée


16 novembre 2006

Le petit Nicolas nous fait peur !

sarkozy_en_librairieVoilà quelque temps que je voulais référencer sur mon blog une "net-vidéo" intéressante sur Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio. Je viens de tomber sur une seconde... Allez-y donc voir. C'est très très instructif, même si cela ne fait que confirmer les sentiments que nous sommes nombreux à nourrir à son endroit.

  1. http://www.dailymotion.com/video/x72d4_le-vrai-sarkozy
    (10'47", posté le 5 juillet 2006)
  2. http://www.dailymotion.com/video/xmqtg_le-vrai-sarkozy-2
    (04'52", posté le 12 novembre 2006)


15 novembre 2006

Dieu dans l'isoloir et Nicolas dans le confessionnal...

lib_rationLu la semaine dernière dans les pages Livres de Libération (9 novembre), l'article d'Olivier Wievorka, « Dieu est dans l'isoloir. Comment l'Église catholique a pesé au XIXe siècle sur le suffrage universel », qui présente notamment le dernier ouvrage d'Yves Déloye, jeune professeur de science politique à Paris1, Les voix de Dieu. Pour une autre histoire du suffrage universel : le clergé catholique et le vote. XIXe-XXe siècles. On y apprend par exemple comment le clergé manipulait les foules au nom du Dieu commun, allant jusqu'à condamner à l'Enfer les "mécréants qui votent mal"...
lemondeLu, quelques jours plus tard, dans Le Monde daté du 14 novembre, le point sur les propositions du projet législatif UMP tel que soumis aux conseillers nationaux du mouvement mené de mains de fer par le couple d'enfer Sarkozy/Fillon - où je lis, au chapitre de la politique familiale, "suppression de la dette pour les familles honnêtes mais surendettées"...

Le rapprochement de ces deux lectures s'impose à moi sans qu'aucune once de mon impertinence foncière et native n'y soit pour quoi que ce soit !
Beau mélange des niveaux de réalité, en vérité : le clergé du XIXe fricotait sévère avec la politique terrestre, le politique d'aujourd'hui et de demain fricote sévère avec la morale. Même confusion. Même amalgame.
Ce qui est très grave dans les deux cas, c'est d'abord la manipulation des foules, de la crédulité des foules. Et puis, que vient faire cette notion éminemment morale dans le discours de la technique politique ? Qui jugera de l'honnêteté de telle ou telle famille ? Un homme politique style Chirac, Pasqua et consort ? Quels seront les critères retenus pour évaluer l'honnêteté ? Le bulletin de vote ?

Bon, il est tard. Je viens d'un concert où l'ONL donnait pour les 40 ans des IUT la grande symphonie d'Olivier Messiaen. Superbe. Mais peut-être n'aurais-je pas dû rédigé ce billet avant de plonger dans les doux bras de Morphée ! Au lieu de rêver aux accents soit-disant indiens de Messiaen, je vais peut-être refaire ce cauchemar où l'Inquisition ...


9 novembre 2006

Josquin l'européen

StQuentin_Temple Josquin & Venise

Saint Quentin
Mardi 14 Novembre 2006
20h30 au Temple

            

 

 

Josquin Desprez fait ses études dans le Nord (Saint-Quentin, Cambrai), œuvre dans les cours et chapelles d'Europe - principalement en Italie - avant de revenir en 1504 à Condé-sur-Escaut pour finir sa vie. Au sein de sa production, ses dix-huit messes authentifiées forment un corpus que l'on peut considérer comme le premier monument de l'histoire de la musique. Le texte latin de la messe kyrie/gloria/credo/sanctus/agnus est utilisé par Josquin comme Beethoven utilise les sections classiques du quatuor à cordes : prétexte à un dialogue entre l'humain et le tout, à une quête de l'être moderne face à l'absolu.

Métamorphoses se donne pour mission sur les dix prochaines années de chanter et d'enregistrer le corpus de ces dix-huit messes, illustrant par là-même le parcours européen de Josquin Desprez. Ce projet, nommé "Josquin l'européen", prend tout son sens par l'ancrage territorial qu'il peut susciter.

Les chanteurs de Métamorphoses mènent une carrière internationale dans des ensembles de musique ancienne (Les Arts Florissants - Christie, Concerto Vocale - Jacobs, Ensemble Matheus - Spinosi, La Simphonie du Marais - Reyne, Concert Spirituel - Niquet, Parlement de Musique - Gester...) et de musique contemporaine (Accentus - Equilbey, Musicatreize - Hayrabédian).

Avec Métamorphoses, dont il est le co-fondateur, Maurice Bourbon travaille à la restitution de chefs-d'oeuvres du répertoire a cappella. Ils ont enregistré plus de dix disques, recevant plusieurs distinctions de la presse spécialisée (Diapason d'Or, 10 de Répertoire, Classica).

En 2006, "Josquin & Venise" est le premier programme de "Josquin l'Européen": les messes Mater Patris et Di Dadi, œuvres rares, seront chantées et enregistrées au mois de Novembre.

josquinStQuentin2


 

 

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