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BRICH59

28 novembre 2012

Figaro menteur ?

lefigaro_coverEh bien non !
Pas cette fois ;-)

Ça, la paix imposée par le grand manitou que le peuple de France a viré il y a quelques mois, le calme et la bienséance revenues à l'UMP, tout ça, c'était ce qu'on croyait hier soir.

Depuis, comme la nuit porte conseil, le grand chef de l'UMP, plus que jamais inspiré par les Poutine et autres dirigeants à la main de fer, le grand chef de l'UMP a décidé de refroidir furieusement le calumet de la sarkopaix...

Chouette ! On va encore rigoler dans les chaumières. Ces temps-ci, la droite française est vraiment la droite la plus drôle du monde !


 

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27 novembre 2012

Non à la violence contre les Roms !

alarmeCliquer sur l'image pour lire le document plus confortablement.


16 novembre 2012

Archives personnelles de Bertrand Schwartz

th_200x100_bertrand_schwartzÇa y est ! Il est arrivé, le répertoire du fonds Bertrand Schwartz que j'attends depuis... !

Il est là, en ligne ! Formidable ! Les archives personnelles de l'initiateur de tant de réflexions collectives qui ont conduit à l'innovation sociale la plus avancée et la plus humaine sont enfin accessibles à tous ceux qui, de près ou de loin dans le domaine vaste de l'éducation permanente, sont ses héritiers.

Merci donc à la Région Nord-Pas de Calais !

archivesBertrand- - - - - - - -

Je me permets de donner à grands traits la préhistoire de ce répertoire, la petite histoire qui a permis ce travail.

Il était une fois un documentaliste spécialisé dans le secteur de l'éducation permanente. Il travaillait au CUEEP, lieu de toutes les innovations socio-pédagogiques des années 1970 à 1990 en région Nord-Pas de Calais. Et si cet organisme était lieu d'innovation, c'est qu'il avait été porté sur les fonds baptismaux en résonance avec les expérimentations que Bertrand Schwartz avaient menées en Lorraine. Une petite bibliographie permet de retracer cette action du point de vue de l'un des centres du CUEEP, celui de Sallaumines. C'est d'ailleurs de ce centre que provient la photo qui montre un groupe en formation dans les années 70 et qui orne aujourd'hui la page où la Région donne accès au répertoire du fonds Bertrand Schwartz...

Un jour de 1994, le directeur du CUEEP proposa au documentaliste de réaliser l'outillage bibliographique d'un colloque sur l'autoformation, colloque co-organisé avec le GRAF (à l'initiative de ce dernier, si mes souvenirs sont bons). C'était le 2ème colloque européen sur l'autoformation tenu à Lille en 1995. Le documentaliste se prit au jeu et établit, en réponse précise à la demande, une bibliographie signalétique assez ample. Cet outil fut rapidement mis en ligne puis mis à jour progressivement par les spécialistes de l'autoformation.
Mais le documentaliste se prit si bien au jeu qu'il alla plus loin que la stricte demande, travaillant plus précisément sur deux des intervenants à ce colloque, deux personnalités de la recherche qui avaient marqué chacun à sa manière l'écosystème de la recherche sur l'autoformation, je veux parler de Georges Lerbet et Philippe Carré. D'où un outillage bibliographique en trois partie : la bibliographie générale s'accompagnait de deux "bibliographies d'auteurs". Et c'est en réalisant ce travail que j'imaginai que produire une telle bibliographie sur la personne de Bertrand Schwartz serait d'un intérêt sans commune mesure avec toutes les autres personnalités qui ont développé l'innovation et la réflexion collective dans le champ pourtant riche de l'éducation permanente. L'écriture praticienne chez
Bertrand Schwartz n'était pas seulement écriture dans l'action et écriture sur l'action, comme toute écriture praticienne, mais aussi écriture pour l'action - cette troisième dimension étant peut-être ici la plus structurante. Je renvoie le lecteur intéressé par ces distinctions au sein de l'écriture praticienne au n°346 des Cahiers pédagogiques de septembre 1996 (p.59-60) ou au n°95 d'Entreprises Formation d'octobre 1996 (Cahier Point-recherche, p.I-V).
Bref, je me souviens avoir glissé cette éventualité d'un travail documentaire sur la production écrite de Bertrand Schwartz en note de bas de page de l'ouvrage qui restituait les actes du colloque, un numéro double des Cahiers d'études du CUEEP, publié en mai 1996 (n°32-33, 285p.) dont j'avais assuré l'édition et dont l'introduction fit l'objet d'une récriture pour Documentaliste-Sciences de l'information.
Je me souviens aussi en avoir glissé mot à Bertrand lors de l'un des repas du colloque où nous étions côte à côte, en compagnie de Joffre Dumazedier, Gérard Mlekuz, Gaston Pineau... Bertrand m'avait alors rétorqué que, pour lui, l'important n'était pas à la valorisation de ses écrits mais à son activité présente et future, à sa lutte permanente contre l'exclusion. Je rangeais donc mon souhait à la consigne des éventualités des jours prochains.

De fait, une dizaine d'années plus tard, Bertrand nous contacta, mon ami Patrick Girard et moi, pour organiser la mise à disposition du public de ses archives personnelles. Je n'en espérais pas tant. C'était l'époque où le monde de l'éducation permanente rendait un hommage appuyé à l'homme et à son oeuvre. Les universitaires suisses, l'équipe de la revue Pour (n°189, mars 2006), Louise L. Lambrichs, tout le monde s'y est mis. De mon côté, je pensais immédiatement aux archives de la Région Nord-Pas de Calais et pris contact avec la responsable du service. C'était en 2007. Avec le C2RP, la Direction de la Formation Permanente et le cabinet du Président du Conseil régional, nous organisâmes le 28 février 2008 une journée consacrée à notre homme, journée qui réunit nombre d'acteurs de l'éducation permanente et au cours de laquelle le Président et Bertrand échangèrent leurs signatures au bas du parchemin de la convention de dépôt d'archives personnelles.
Ci-dessous le schéma du projet qui conduisit à la journée du 28 février 2008, présentée en son temps sur le présent blog :

sch_ma_projet_FdsBS_retaill_

 

Pourquoi le Nord-Pas de Calais ? Parce que cette terre, Bertrand l'avait foulée à plusieurs reprises au cours de sa carrière d'expérimentateur. J'avais tenté un schéma sur Bertrand Schwartz en Nord-Pas de Calais, pour aider quelqu'élu qui devait prendre la parole ce jour-là.

BS_NPdC

 J'avais dirigé pour l'occasion un document bibliographique (à partir du fonds documentaire du C2RP), aujourd'hui accessible en ligne.

Bulletin Bertrand Schwartz 28022008 doc
 

Sur cette photo prise le 28 février par l'amie Catherine Schmitt, on reconnaît, de gauche à droite au premier plan, Marie-Noëlle Lienemann, Bertrand et Antoinette Schwartz, Jacques Delors, Claudine Carin, Daniel Percheron, Patrick Girard, Gérard Mlekuz (derrière Patrick Girard) puis, en costume clair tout à droite, Serge Évrard - tous deux hélas disparus depuis lors.

autour_de_BS__gd_

Bref !
Non sans quelques relances de ma part
, le traitement archivistique est donc en octobre 2012 réalisé et diffusé  - du moins pour cette première tranche du fonds...
Merci aux Archives régionales Nord-Pas de Calais !
Reste à engager la "valorisation documentaire" appelée de mes voeux depuis fort longtemps...


 

 

 

10 novembre 2012

Stupide ? Vous avez dit stupide ...

SDassaultIl n'y a plus de renouvellement de la population, à quoi ça rime ? On veut un pays d'homos ? Eh bien alors dans dix ans il n'y aura plus personne, c'est stupide. [...] Regardez dans l'histoire, la Grèce, c'est une des raisons de sa décadence. C'est l'arrêt de la famille, c'est l'arrêt du développement des enfants, c'est l'arrêt de l'éducation, c'est un danger énorme pour l'ensemble de la nation, énorme.


C'est quoi qu'est stupide, Sergio ?

Même pas la peine de reprendre pour les corriger tes drôles de propos (le droit au mariage comme incitateur à l'homosexualité, le coup de l'histoire de la Grèce, etc.) ! Juste stupide !

La droite française comme droite la plus stupide du monde...


9 novembre 2012

Outils Froids pour lancement de Knowledge Plaza 3

Outils froids a ouvert la Knowledge Plaza 3. Christophe Deschamps parle du knowledge management et de la fin du knowledge management tel qu'on le pratiquait dans les organisations...


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8 novembre 2012

Professeurs documentalistes : la prise de fonction cartographiée

Dans le cadre de leur formation, les stagiaires en documentation de l’Académie de Toulouse ont pu tester le potentiel pédagogique des cartes heuristiques. La richesse de cet outil a été abordé sous différents angles. L’un d’entre eux visait à appréhender leur apport en terme d’organisation des idées... suite


5 novembre 2012

Citer ses sources, rédiger une bibliographie... à la carte !

Carte partagée sur Mindomo par les professeurs documentalistes du Lycée Alfred Kastler-Guitton.


1 novembre 2012

Stradella de César Franck (opéra de Liège)

1 novembre 2012

Carlo Gesualdo, Madrigaux VI : Ancide sol la morte

Carlo Gesualdo - Sesto libro di madrigali: XV. Ancide sol la morte

Le premier de chaque mois, Brich59 propose un extrait de la discographie de La Chapelle des Flandres (source : YouTube). Sympa, non ?


29 octobre 2012

Cher Hanns,

71858810Je prends enfin le temps de répondre à vos trop aimables "commentaires".
Je mets au pluriel car votre penchant au harcèlement vous a poussé à tripler la mise.

  1. Il y a le premier "commentaire" du 16 octobre à 21h55, qui dit ceci : "Mon pauvre monsieur vous ne connaissez rien au métier de l'Immobilier .Peut être qu'un jour vous aurez besoin des services d'une agence IMMOBILIÈRE comme L O G E H O M E ...... Hanns - email : Dan.and.co@hotmail.fr ".
  2. Puis il y a eu le même jour celui-ci : "J'imagine que vous êtes à la retraite ou chômeur ,pour avoir le temps de dire autant d'anneries .Hanns - email : Dan.and.co@hotmail.fr ".
  3. Enfin trois jours après, non content que je ne publie pas immédiatement votre petite mais insistante logorrhée, celui-là : "Mon commentaire ne paraît pas ? Est ce normal ".

Je réponds donc rapidement (on n'a pas que ça à faire !) à vos si doux "commentaires", l'un après l'autre, non sans préciser au lecteur que nous ne nous connaissons ni d'Ève ni d'Adam, comme disait ma grand'mère qui croyait au ciel.

"COMMENTAIRE" n°1

  1. Je ne suis pas particulièrement pauvre, même si je ne suis pas particulièrement riche. Je fais partie de cette classe de gens que la vie a plutôt aidé socialement et culturellement, même si je n'ai fait aucun héritage qui me permettrais de vivre sans travailler voire de ne faire que ce dont j'ai envie.
  2. Je suis avec mon épouse propriétaire d'une maison et c'est à l'occasion de son acquisition que j'ai fait connaissance avec le monde du commerce de l'immobilier. J'ai vu - c'était il y a plus de vingt ans - comment les agences pouvaient alors arnaquer les bourgeois inattentifs. Je crois que la difficulté réside en ce que vendeur comme acquéreur s'imaginent que l'agent immobilier oeuvre pour leur bien, alors qu'il n'oeuvre que pour son bien à lui. C'est le principe dui commerce me direz-vous. Eh bien oui, je suis d'accord. Mais alors qu'on ne mette pas en avant le "besoin de services" comme si l'agence immobilière faisait une bonne oeuvre, remplissait une mission socialement utile etc.

COMMENTAIRE n°2

  1. Eh non ! Perdu, cher Hanns ! Je ne suis ni chômeur ni retraité. D'ailleurs, je trouve votre ton à l'endroit des chômeurs et des retraités quelque peu dédaigneux. Façon Sarkozy, façon Copé etc. Vous voyez ce que je veux dire.
    Par contre, ce que je peux vous dire, c'est qu'un chômeur ne fait pas rien : il cherche du travail et se démène tant et mieux qu'il perd parfois espoir de se voir opposer des refus sans élégance - sur le même ton que le vôtre. J'espère pour vous que vous ne serez jamais au chômage même si j'incline à penser que cela aiderait peut-être à votre maturation sociale et politique.
    D'un autre côté, côté retraité, j'en connais plus d'un qui ne savent plus où donner de la tête parce qu'ils militent dans ces associations qui pallient les carences et les absences des pouvoirs publics s'agissant du bien-être fondamental de la population.
  2. Le temps ! Eh bien, cher Hanns, c'est bien parce que mon boulot ne me laisse que très peu de marge de temps libre que je n'ai pas répondu immédiatement à vos "commentaires". Désolé ! Mais il n'y a pas que les agents immobiliers qui bossent plus que 35h !
  3. Quant à vos "anneries", sachez qu'il faut écrire "âneries" - ce qui ne se prononce pas de la même façon. La correction élémentaire, surtout quand on fait commerce, ne consiste-t-elle pas à respecter les codes communs de la communication ? Je sais bien que le sommet de l'État a montré un très mauvais exemple de 2007 à 2012, mais ce n'est pas une raison. Autre chose : concernant les signes de ponctuation simple, l'espace se met après et non avant (comme vous faites) la ponctuation. Bref, si vraiment vous voulez faire carrière dans la publication de commentaires sur les blogs qui vous déplaisent, commencez donc par vous assurer que vous écrivez correctement.
  4. Quant aux "âneries" donc que vous me prêtez, je vous demande d'être plus clair et plus précis. Vos arguments sont bien trop légers pour me faire changer d'avis. Je vous invite à les développer, par exemple en commentaire du présent message. Je m'engage à les publier immédiatement.
  5. Dire publiquement à quelqu'un qu'il fit des "anneries", même avec une faute d'orthographe, relève de l'insulte, voire de l'injure. Je trouve que, pour un défenseur du commerce, vous vous y prenez bien mal avec vos futurs éventuels clients... C'est comme le "pauvre Monsieur" de votre premier "commentaire" : j'ai joué sur le sens économique du terme, mais sous votre plume il fleure bon le mépris, non ?

COMMENTAIRE n°3

  1. REPRISE
    Le temps ! Eh bien, cher Hanns, c'est bien parce que mon boulot ne me laisse que très peu de marge de temps libre que je n'ai pas répondu immédiatement à vos "commentaires". Désolé ! Mais il n'y a pas que les agents immobiliers qui bossent plus que 35h !
  2. Reste la question de la pertinence et de l'intérêt de vos commentaires. Qu'y apportez-vous d'intéressant ? En quoi répondez-vous intelligemment aux propos que vous dénoncez ? Je vous invite donc à nouveau à développer votre argumentaire. Nous pourrons alors échanger nos idées, sans injure de votre part je l'espère.

Dans l'attente, je vous prie de recevoir, cher Hanns, mes salutations les plus civiles.


 

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