J'suis p'têt'bête, mais...
y a quelque chose que je ne comprends pas !
Dans l'histoire de la SNCM, on nous
dit, depuis un bout de temps, qu'il doit y avoir injection de capitaux
privés (Saint Marché, priez pour nous !) pour que l'entreprise de
service public ne coule pas...
Bon ! Je ne suis pas compétent en économie ni en européanie, donc, je fais semblant d'accep- ter. Par défaut.
Hier, on nous rebat les oreilles avec l'idée que la grève de salariés (commencée le 20 septembre) met l'entreprise de service public en péril.
J'en conclus donc que, pour que l'entreprise de service public ne coule pas, il faut que les salariés travaillent.
Alors pourquoi ne pas l'avoir dit tout
de suite, que le travail était au moins aussi important que les
capitaux pour que l'entreprise de service public ne coule pas ?
Si
on avait pris "conscience publique" de cette vérité économique trop
simple, on n'en serait peut-être pas là, à une situation de blocage !
Après quoi on pourra peut-être se
mettre d'accord sur l'importance relative du travail et du capital. Et
ajuster nos façons de voir les choses en fonction de cette
répartition... Non ?
J'ai dis une connerie ?