Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
BRICH59
28 septembre 2006

Après l'EAD, l'OAD, Orientation À Distance...

Le site d'Aide à l'Orientation à Distance de l'AFPA (financement FSE) s'appelle Ori@dis.
OriadisLogoIl a pour vocation de d'aider à construire son projet de formation. On peut même y créer son dossier personnel; et vous pourrez y enregistrer puis imprimer les documents de votre choix.
Plusieurs rubriques permettent ce travail. Dans la rubrique "s’informer sur la formation", on trouve des informations générales, qui vous permettront d’obtenir des réponses aux questions qu'on se pose (prise en compte de l'expérience, des acquis en formation; conditions d’admission en formation; conditions de mise en oeuvre des aides possibles pour mettre en oeuvre son projet de formation). On peut également calculer sa rémunération pendant la formation, travailler sa motivation, mettre au jour les raisons de suivre une formation...
Mieux, une séquence flash permet de "trouver des idées de métier"! Et une autre rubrique permet de "rechercher un métier qui recrute".
Ça fait rêver, non?
Si, avec ça, il y a encore du chômage dans notre bon pays !
On notera, enfin, que les malvoyants (accès non-voyants et malvoyants) et les femmes (féminisation des intitulés de formation et de métiers d'un seul clic) font l'objet d'un soin tout particulier...
logo_afpa_2Ah, j'oubliais : tout est centré AFPA, et on peut fouiller le catalogue de la "vieille dame", comme disait jadis Bernard Brunes...
Ah bon ? Y a que l'AFPA qui fait de la formation d'adultes ?


Publicité
Publicité
27 septembre 2006

Le collusioneur collusionné !

canard060927

Excellent ! Selon le Canard enchaîné, Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio fricote avec la paranoïa. Témoin, l'engeulo passé au staff policier du 9-3 l'autre jour. Lisez donc le Canard d'aujourd'hui !

On peut y lire ceci.
"Il nous a sorti la grande thèse du complot", explique un chef de service présent à la réunion. "À savoir que ses ennemis (…) cherchaient à s'en prendre au candidat à l'Elysée"...

Alors là ! Excellent ! Je jubile !  Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio, (je traduis : Sarkozy, Roi de la collusion, lui-même collusion de collusions), s'avoue victime du principe de ... collusion !

Excellent ! C'est le coup de l'arroseur arrosé !

Le grand principe de la morale laïque (voyez la Métaphysique des mœurs de ce cher Kant), principe d'universalité, est que « je dois toujours agir de telle sorte que je puisse aussi vouloir que ma maxime devienne une loi universelle ». Trivialement, ça peut donner : je n'inflige pas à autrui ce que je ne voudrais pas qu'autrui m'inflige. Quelque chose comme ça. Eh bien, notre Nicolas ne semble pas convaincu du bien-fondé de ce principe. De deux choses l'une :

  • soit il arrête de jouer du principe de collusion ;
  • soit il accepte d'en être victime.

Pas beau joueur, le mec !

Je propose que quelqu'un de l'UMP, quelqu'un qui aurait fréquenté ce voyou de Kant, lance une souscription pour offrir un exemplaire de la Métaphysique des mœurs à son patron. Ou juste faire une impression de la traduction Delbos, disponible sur le net (lien plus haut).


26 septembre 2006

La collusion ne passera pas !

Lu dans la presse avec satisfaction.
Un cas de collusion UMPienne possible sera évité : Madame Borloo, alias Béatrice Schonberg, ne servira pas la soupe médiatique à Monsieur.
Faut dire que c'était un peu gros ! Quoiqu'avec notre ami Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio, et sa cour UMP, on peut s'attendre à tout. Regardez à Marseille l'autre jour.
Mais là, le lièvre était vraiment trop gros ! Un vrai lapin des Flandres !

leMonde_DhombresQuoique !
Quoique !
Comme le révèle Le Mon- de daté de ce 26 septem- bre 2006, dans un article de Dominique Dhombres, savoureusement intitulé "Encore un coup des bolcheviks sur France 2", « c'était compter sans le zèle de 52 députés UMP qui réclamaient son maintien, quoi qu'il arrive, pendant la campagne. Dans une lettre adressée à Patrick de Carolis, président de France Télévisions, rendue publique le 15 septembre, ils s'indignaient d'un " congé " assimilé à un " délit d'opinion ". Avec un sens incontestable de la litote, ils évoquaient une mesure digne d'une " démocratie populaire des années 1950 ". Il est donc avéré, puisque l'intéressée sera absente deux mois des journaux télévisés de fin de semaine, que la France ressemble désormais à la Bulgarie de Todor Jivkov ou à la RDA de Walter Ulbricht. »

Quand je vous dis que la collusion est une culture à l'UMP !


26 septembre 2006

Un petit moteur pour BRICH59 ?

freefindCe n'est pas pour crâner, juste pour permettre à mes obscurs et loyaux amis lecteurs de s'y retrouver dans ce blog polygraphe : BRICH59 est maintenant équipé d'un moteur de recherche, accessible en allant dans la "catégorie" recherche sur BRICH59. Pratique, non ?
On peut même se payer le luxe d'une petite équation booléenne ! Merci FreeFind !


22 septembre 2006

Opinion et institution

Tôt ce matin, j'ai entendu un journaliste (France Info ou France Inter ?) dire que le ministre responsable du respect de l'ordre dans notre bon pays avait joué l'opinion contre les institutions, validant du même coup l'affirmation dudit ministre selon laquelle il disait tout haut ce que tout le monde pense en son fors intérieur (à savoir que la justice n'est pas assez répressive, etc.)...
Deux choses à dire rapidement là-dessus.

  1. Le terme opinion connaît une acception philosophique ancienne (cf. Platon) : l'opinion (la "doxa") fonctionne dans l'ordre de la vraisemblance, de ce qui "semble vrai", par opposition à ce qui est vrai ou vérifié (ordre de la science). En gros, l'opinion, c'est ce qui est simple à penser et ce qu'on a envie de croire sans réfléchir. Souvenez-vous de l'affaire d'Outreau.

  2. Le terme opinion connaît une acception socio-politico-médiatique contemporaine (cf. les enquêtes d'opinion) : l'opinion fonctionne dans l'ordre de la viabilité (du projet) politique, par opposition à la détermination raisonnée des responsables politiques. On est dans une opposition de type "gens de la rue" contre "élus au pouvoir". On est dans la construction de l'homme politique comme étant celui qui "ose parler", qui "ose dire tout haut...", celui qui a le courage de dire ce qui ne va pas, celui qui parle sans tabou, etc. Pensez aux pratiques lepénistes.

Ce qui est formidable avec notre ministre, c'est qu'il roule sur les deux acceptions dans le même mouvement, masquant les défauts épistémologiques de la première par la soi-disant force politique de la seconde. Le roi de la collusion - j'ai nommé notre Sarkozus, collusionis rex, collusionarum collusio - pratique la collusion des deux acceptions du terme opinion. Quoi de plus normal, en somme ! La collusion est une seconde nature chez lui. D'ailleurs, quand il dit ce qu'il dit concernant le travail de la Justice, il parle en tant que ministre, en tant que responsable du parti politique créé pour soutenir l'action de Jacques Chirac, en tant que candidat à la prochaine élection présidentielle, en tant qu'avocat, en tant qu'homme de la rue et de l'opinion ? Le sait-il lui-même ?

Tiens, si j'était lui, je proposerais le rétablissement de la peine de mort. Tout simplement parce que sa suppression avait été obtenu, en 1981, contre l'opinion publique (et contre l'avis de l'actuel Garde des Sceaux, alors jeune député à l'écoute de sa ruralité, mais c'est une autre histoire [cf. Le Canard Enchaîné de cette semaine]). En tout cas, je n'ai pas entendu le Garde des Sceaux défendre avec toute la fermeté qui conviendrait ici les juges conter les attaques de son collègue de l'Intérieur...
euh pardon : du patron de son parti politique...
euh pardon : de celui qui se voit bientôt Président de la République !


Publicité
Publicité
21 septembre 2006

"Drames du divorce"

fish_divorceRécemment, deux "faits divers" ont ensanglanté notre beau pays des droits de l'humain... À Tourcoing d'abord, puis le lendemain je ne sais où. Peu importe d'ailleurs que ce soit à Tourcoing ou ailleurs. L'histoire est simple et tragique et universelle, hélas ! : un père, craignant le déni de paternité, tue ses enfants avant de se suicider. On appelle ça d'habitude les "drames du divorce"...

Il y a maintenant presque vingt ans, j'étais père de deux enfants de cinq et sept ans et ma femme se découvrit homosexuelle lors d'une relation cachée avec l'une de ses élèves de première... Elle s'absentait régulièrement du domicile familial, pour vivre à l'aise sa passion pédophile, certes sous des prétextes fallacieux (club théâtre et autres subterfuges lycéens)... Le père et les enfants s'en accommodaient : elle avait l'air si heureuse ! Parfois, elle partait plusieurs jours, sans dire où elle était, sans faire savoir où nous pourrions la joindre en cas de problème... Un jour l'un de mes garçons me fit remarquer que j'étais capable, moi son père, d'être à la fois son père et sa mère ! Père par "nature" et mère par forfait !

Elle finit par demander le divorce et eut gain de cause, c'est-à-dire obtint la "garde" de nos deux enfants. En première instance, comme on dit !
Que dire de cette justice des "affaires matrimoniales", si bien nommée, qui attribue d'office à la mère la responsabilité parentale, déniant au père la capacité à l'assumer seul.
Que dire de ces juges qui se satisfont d'"enquête sociale" bâclée, bourrée de contrevérités flagrantes à l'oeil nu ?
Que dire de ces juges qui croient ce que prétendent d'improbables témoins ?
Que dire ... ?

Ma voisine, une dame de la cinquantaine, trouvait ça normal : les enfants à la mère, le père étant appelé à "refaire sa vie" ! Telle était la destinée tracée pour les femmes et pour les hommes ! Pauvre voisine, pauvre femme ! Toute sa vie avait été vouée à l'éducation des enfants, parce que sa mère avait subi le même sort, et sa grand-mère aussi... Quand je lui disais que j'aimais mes enfants et que je voulais vivre avec eux, même sans ma femme, m'occuper d'eux, leur faire à manger, laver leur linge, etc., elle ne me croyait même pas ! Inconcevable pour son cerveau endigué de femme formatée !

C'est à ce moment-là que j'ai failli craquer. Quand je dis 'craquer', je veux dire attenter à ma vie. Pas à celle de mes enfants. Ceci dit, je ne suis pas allé jusqu'à l'extrémité du geste, à cause d'un étonnant mélange de rage contre elle et d'amour pour eux.

Je fis appel, n'ayant rien, mais vraiment rien, à me reprocher qui aurait pu inciter mon épouse à se plaindre de moi... Car, lors de la première instance, j'étais devenu, comme il convient en pareil cas, alcoolique, violent, dragueur, et j'en passe... Comme elle n'avait - et pour cause - aucune preuve de ce qu'elle avançait (malgré la tonne de "témoignages" qui étaient avancés comme "preuves" [Voltaire, reviens vite ! Ils sont devenus fous !], et bien qu'elle ait tenté, par exemple, de me porter préjudice sur mon lieu de travail, ce qui avait déclenché des réactions en chaîne incontrôlables), je décidais d'interjeter appel, comme disent tous ces avocat(e)s et autres avoué(e)s qui s'enrichissent indûment sur le dos du malheur conjugal de bien des gens... Bref, je finis par avoir gain de cause. La justice reconnaissait que ma belle épouse y était allé trop fort dans le genre dénigrement non fondé et que c'était bien elle qui avait créé la situation à partir de laquelle le divorce était la seule solution possible etc. J'ai donc eu droit à des "dommages et intérêts" ! La belle affaire : la justice, pour reconnaître ses erreurs, ne décidait pas pour autant de les réparer complètement ! Justice certes, mais des affaires matrimoniales ! Mon épouse dut donc me verser des dommages et intérêts mais conservait la garde de mes enfants, enfants que je n'avais jamais abandonnés un seul jour, une seule nuit... L'argent, la reconnaissance de non-culpabilité, je m'en foutais comme de l'an quarante ! La seule chose qui m'importait, assumer ma responsabilité de père au quotidien, ce pourquoi je m'étais battu malgré ces avocats complices de ces pratiques machistes et trop contents de s'enrichir, cela ne m'était pas accordé !
Presque vingt ans après, la gorge me serre encore du seul seul fait d'y penser...

La voilà, la justice française des affaires matrimoniales, cette justice qui broie tant de pères, pratiquant le déni de paternité comme pour se débarrasser d'un problème épineux... Certes, je ne connais pas les détails existentiels des deux drames récents. Certes, il y a mille et une raisons de commettre de tels crimes contre ses propres enfants et contre soi-même. Certes. Mais une machine judiciaire aussi sexiste, voire machiste, ne saurait produire de débats familiaux sereins. Et seule la sérénité laissera la justice, la vraie, faire son œuvre, débarrassée qu'elle devrait être de la prise en considération des témoignages de complaisance et d'enquêtes sociales bâclées et de l'acceptation aveugle d'un matriarcat d'un autre âge, digne du Pétainisme le plus rétrograde ! Mais tant que cela n'advient pas, comment s'étonner de ces "drames du divorce" qui se répètent décidément trop souvent "au pays de Voltaire et d'Hugo" ?


17 septembre 2006

Dieu que les humains sont bêtes !

Quelle misère !

C'est comme l'histoire des caricatures : un épiphénomène déclenche une tempête qu'on tente de calmer ou pas mais en en restant au niveau de l'épiphénomène !

pape2Le Pape a déclenché une tempête en citant un texte du fin XIVème/début XVème, un texte où, dans une conversation avec un érudit de confession musulmane, un empereur chrétien affirme que, dans le Coran (2-256), "il n'est nulle contrainte en matière de foi" (le texte de l'allocution du pape est ), ce qu'on pourrait traduire, en langage d'aujourd'hui, en disant que la foi justifie tout en dernier recours, la foi, elle, n'ayant pas à être justifiée.
Les pédants et les philosophes diront que la foi transcende tout. Tout, c'est-à-dire aussi la "raison", qui,
comme dirait le bon vieux Kant, peut être "spéculative" (et alors elle cherche à déterminer les critères du vrai), "pratique" (et alors elle cherche à déterminer les critères du juste) ou "esthétique" (et alors et alors elle cherche à déterminer les critères du beau). Dire que la foi ne subit aucune contrainte, pas même celles de la raison, revient ainsi à dire que c'est la foi qui décide de ce qui est vrai, de ce qui est juste et de ce qui est beau. Galileo_GalileiL'occident chrétien a bien connu cette transcendance- là, qui a condamné G.Bruno, N.Copernic, G.Galilée etc. parce qu'ils avaient "raison" mais sans respecter le dogme établi qui, pratiquement, fondait la foi, parce qu'ils avaient raison contre la foi...
Mais là, on voit qu'on tourne en rond ! Car la bonne question est : qui a décidé du dogme. C'est, fondamentalement, tout le problème de l'écriture révélée qui gît en soubassement des trois grandes religions, la juive, la chrétienne et la musulmane (énumérées ici dans l'ordre d'apparition sur l'écran de l'histoire mondiale) : qui a décidé que tel(s) "livre(s)" était "Le Livre" ? La réponse est très (trop) simple si on a la foi : on répond que c'est Dieu qui a décidé etc. Mais alors comment tolérer que d'autres disent la même chose d'un autre dieu pour d'autres textes ? Elle est tout aussi simple si on est mécréant absolu ou athée intégral, mais alors la question change de quartier et glisse du côté des philologues et des historiens, où elle nécessite l'usage de la raison qui fonctionne selon ses propres normes internes, la raison autonome, la raison délivrée de l'emprise de la foi. Le travail fait dans les siècles passés sur l'histoire des texte de l'Iliade et de l'Odyssée a produit des résultats riches d'enseignements et devrait conduire les croyants à se poser la question : qu'est-ce que je fais de ce que je sais quand le savoir ne dit pas la même chose que ce que je crois, que ce à quoi l'autorité religieuse me contraint de croire ?

Bref ! Le problème n'est pas là aujourd'hui : il est dans la démesure des réactions à un discours qui parle des rapports entre foi et raison dans les termes de la philosophie chrétienne du premier Moyen-Âge (sujet scolastique s'il en est !) à aujourd'hui (sujet scolaire s'il en est !). Démesure en effet si on remet les choses en place, à leur place. Le Pape évoque donc cette problématique des rapports foi/raison, en soulignant, citation à l'appui, que la religion musulmane considère que la voix divine est supérieure à toutes les autres voix, fussent-elles celles de la raison. Mais, dans le procès de Galilée, par exemple, dans les menaces de tortures qu'il a proféré contre le savant, l'inquisiteur ne se disait-il pas détenteur de la voix divine ? Ne parlait-il pas au nom de Dieu et du Pape ? Ne jouait-il pas le rôle de "pro-phète" de Dieu, c'est-à-dire de celui qui parle au nom de Dieu ?

Reprenez votre bouquin d'histoire et regardez les "croisades" : n'est-ce pas au nom de la défense de la religion et in fine au nom de Dieu que la grande boucherie médiévale a été organisée ? Etc.

"La conviction qu'agir contre la raison est contraire à la nature de Dieu", prétend le Pape. On pourrait aller jusqu'à dire qu'il a raison, sauf que nous ne parlons pas, lui et moi, de la même raison.

Regardez, quand Bush déclare la guerre aux mécréants, n'invoque-t-il pas Dieu dans sa déclaration de guerre ? Et si le Pape n'a pas tort, Karl_Marxil nous faut trouver de quel argument de raison se sert Bush ?

Vous avez trouvé ?

Mais oui, mais c'est bien sûr : la raison économique, la raison pétrolifère par exemple...

Saint Marx, priez pour nous !



15 septembre 2006

Cœli et Terra recrute

gal_94545Pour ses vingt ans, Cœli et Terra recrute de jeunes chanteurs expérimentés ou désirant se perfectionner (tout pupitre). Les projets sont nombreux...

L’ensemble vocal Cœli et Terra a 20 ans en 2007 !

Initialement destiné à la restitution de la musique ancienne, Cœli et Terra a depuis quelques années développé son activité dans de multiples directions :

  • la musique franco-flamande ;
  • la musique baroque ;
  • les 19°, 20°, 21° siècles, plusieurs créations mondiales par an depuis quatre ans ;
  • la musique traditionnelle
  • le théâtre musical, plus récemment.


En 2005 et 2006, l’ensemble a poursuivi et développé des recherches dans des domaines innovants :

  • le concert sur un fil musical continu, « cousu oreille » pour chaque acoustique particulière ;
  • l’improvisation harmonique ;
  • le théâtre musical polyphonique.


Pour 2007, Cœli et Terra cherche encore et toujours à développer ses activités, et recrute de jeunes chanteurs expérimentés ou désirant se perfectionner :

  • pour son atelier de création et d’improvisation (répétitions certains jeudis soir) :

    • Musiques hongroises du 20° (Kodaly, Bartok, Ligeti),
    • Musiques nord-européennes du 20° (Hindemith, Vasks, ...),
    • Improvisations pour le concert et le théâtre musical (Bourbon),
    • Kilda, création mondiale avec Ars Nova et Philippe Nahon (22 et 23 juin 2007 au Phénix de Valenciennes).
  • pour son programme L’Europe baroque  (répétitions certains WE, samedi 17-22h, dimanche 9h30-13h) : (D. Scarlatti, Monteverdi, Bouzignac, Du Mont, Blow, ...)

  • pour son répertoire à voix égales (femmes, hommes, répétitions certains jeudis) : Schubert, Schumann, Caplet.

Chaque chanteur peut choisir de participer à telle ou telle production...

pho1_201651



Cœli et Terra !
  • 7 enregistrements discographiques (10 de Répertoire pour les Motets de Bach en 1994)

  • 10 concerts par an

Renseignements et rendez-vous pour auditions à la Chapelle des Flandres (03.20.73.18.94 ou par mèl).

 


7 septembre 2006

L'Actionaute de septembre est sorti

Publicité
Publicité
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 261 390
Publicité