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BRICH59
droits de l'homme
8 juin 2011

Vive l'Humanité !

Le journal communiste a des unes hautes en couleurs ... et en significations !

LHuma20110608

 

 

 

 

Même que ça fait pouffer Daubresse...

 

 

 

 

... ce que ne peuvent même pas faire les citoyens.

lhumanitedimanche-couv

Le monde actuel en deux couvertures.


 

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6 mars 2011

Rapport européen sur la protection des droits fondamentaux

Rapport d'information déposé par la commission des affaires européennes sur la protection des droits fondamentaux en Europe et les relations entre l'Union européenne et le Conseil de l'Europe rendu par Yves Bur
FRANCE. Assemblée nationale. Commission des affaires européennes. Paris janvier 2011 ; Assemblée nationale (Documents d'information de l'Assemblée nationale , n° 3083)

Ce rapport d'information de 104 pages analyse les relations et les complémentarités envisageables entre l'Union européenne et le Conseil de l'Europe, en matière de protection des droits fondamentaux.

Le rapport est


4 mars 2011

Manifeste des droits humains. Constats et perspectives 2011-2012

manifeste2011_179253Ce "Manifeste des droits humains. Constats et perspectives 2011-2012" fait suite à celui de 2007. Elaboré pour les élections présidentielles et législatives, il dresse un état des lieux des préoccupations d’Amnesty International France sur la question du respect des droits humains dans six domaines de l'action politique.

Il se veut être à la fois un bilan des suites données aux recommandations de 2007, un constat de la situation des droits humains dans les six domaines retenus et une mise en perspective avec de nouvelles recommandations.

Ce document est destiné à interpeller le gouvernement et le Parlement actuels, les élus et les candidats aux prochaines élections sur l’urgence de placer les droits humains au cœur des débats nationaux, européens et internationaux.

Lire la suite...


5 janvier 2011

Les (dés)ordres de l'indignation

assoulineÉtrange billet que celui de Pierre Assouline, "A-t-on le droit de ne pas s’indigner avec Stéphane Hessel ?" !

Ça commence comme une critique littéraire. Normal, on est entré dans la "République des lettres".

Non, ce n'est pas un livre. C'est une brochure où le texte stricto sensu occupe 14 pages, soit grosso modo la moitié de la brochure. Autant de paratexte (ou plutôt de péritexte comme préciserait Gérard Genette) que de texte.
Et alors ? Pourquoi pas ? Où est le problème ?

Puis vient la critique du contenu. Après avoir remarqué que l'indignation est le leitmotiv de cette publication, le critique se plaint que "le contenu manque de contenu". Belle formule ma foi ! On dirait qu'il y a tromperie sur la marchandise.  Déjà que le texte stricto sensu n'occupe qu'une petite moitié du volume ! Il faut encore que le texte soit vide de contenu ! Roulés, les lecteurs sont roulés !

Ceci dit, notre critique trouve tout de même matière à critique, trouve du "contenu" à critiquer. Bon ! Il s'indigne de "cette manière de mettre ainsi sur une même ligne morale la situation des sans-papiers, la dérégulation du capitalisme et les crimes du totalitarisme national-socialiste". Après avoir reproché à l'auteur de ne livrer aucun programme d'action digne de ce nom, aucune philosophie morale authentique, le critique chausse les mocassins de la philosophie morale pour s'indigner contre l'indigné systématique ! Faudrait savoir ! Reste qu'il est loin d'être clair que Stéphane Hessel mette tout cela sur la même "ligne morale". Quand je suis au musée et que je porte un regard également curieux et attentif sur chaque œuvre exposée, je ne mets pas pour autant toutes ces œuvres sur la même "ligne esthétique", mon jugement esthétique faisant son œuvre grâce au regard attentif et curieux. Bref, je crois que le critique malmène quelque peu l'œuvre qu'il critique. Il en rajoute et on frôle le procès d'intention.

Puis vient le bât qui blesse. L'auteur dit "Nous", entraînant avec lui ceux qu'il appelle "les vétérans des mouvements de résistance et des forces combattantes de la France libre". Leur a-t-il au moins demandé la permission ?, semble se demander le critique. Ce dernier nous apporte lui-même cependant un éléments de réponse (référence à "l'appel de 2004"). Le bât blesse, mais pas tant que ça. En tout cas, cela ne justifiait pas que le critique critique la publication.

La véritable et fondamentale justification semble venir ensuite. Il s'agit de la position de Stéphane Hessel quant à la Palestine occupée et au Peuple Palestinien maltraité - c'est un euphémisme !- par l'État d'Israël. Là, tout est bon. Quelques exemples.

Premier exemple, le mécompte : le critique remarque que l'indignation de l'auteur à propos de la Palestine occupe 2 pages sur 13. On ne voit pas très bien ce que de tels chiffres viennent faire dans une critique littéraire, mais passons. Remarquons juste que le critique en rajoute encore une fois : le texte stricto sensu compte 14 pages et non 13 comme dit ici le critique - qui, faisant mécompte, cherchait peut-être à augmenter l'importance quantitative relative de l'indignation à propos de la Palestine. Qui trompe qui ?

Autre exemple,  "cette énormité : « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c’est insupportable »". Pourquoi serait-il énorme de penser qu'il est insupportable qu'un peuple victime des pires atrocités produise en son sein un État bourreau ? Moi qui ne connais les souffrances juives que par les témoignages (entretiens, livres, films), cela m'est effectivement et viscéralement (sans même réfléchir) insupportable. Aussi insupportable que de constater que les enfants battus deviennent des parents violents, etc. En fait, le critique prend l'auteur pour un con : évidemment que Stéphane Hessel sait bien que les Israéliens ne sont pas des anges parce qu'ils ont été des victimes ! Tout le monde le sait ! On a juste le droit de se dire qu'il serait bien pour l'humanité tout entière qu'un peuple qui se dit "élu de Dieu" et qui a connu la souffrance extrême s'érige en défendeur universel de l'humanité de l'homme. En quoi cette pensée est-elle si grossière, si énorme ? Tout juste de l'angélisme.

Dernier exemple : on ne trouve pas dans la publication de l'auteur "d’indignation sur la violation des droits de l’homme en Birmanie, en Chine, en Iran, en Corée du Nord, en Libye, en Tunisie et dans tant d’autres pays car l’indignation de Stéphane Hessel est à géométrie variable". Bel effort du critique ! Mais a-t-il seulement compris la nature du message que l'auteur veut délivrer ? Il donne son indignation du moment comme un exemple hic et nunc et ne prétend pas faire le catalogue des violations des droits de l'homme. Il n'est donc pas question de "géométrie variable" : il lui suffit de parler des ONG qui s'en occupent activement (p.16) et le critique n'aura qu'à lire le rapport annuel d'Amnesty International si le sujet l'intéresse vraiment. Mais je crois que ce n'est pas son problème actuel. Mentionner tous les cas de violations étatiques des droits de l'homme permet de diminuer l'impact de ce qui se passe en Palestine. Technique bien connue des journalistes qui consiste à inonder d'informations multiples pour dissimuler une seule information gênante ou en amoindrir l'impact.

Reste la chute du billet de notre critique. On voit ici à quel niveau de réflexion nous nous trouvons. La blague qui consiste à souhaiter que l'auteur s'indigne que l'Angelus Novus de Paul Klee soit au musée de Jérusalem est d'un goût plus que douteux. Même pas un enfantillage ! À moins que ce genre d'indignation soit courante chez le critique... Pauvre République !

 

Soyons sérieux. Stéphane Hessel ne prétend pas dresser le catalogue des violations des droits de l'homme ni jeter l'anathème a priori et systématique sur un État particulier. Sa publication est de l'ordre du prospectus, du manifeste. Je le mets à côté du Contr'un (Discours de la servitude volontaire) de La Boétie, des Chaînes de l'esclavage de Marat, des Réflexions sur les causes de la liberté et de l’oppression sociale de Simone Weil, etc. Vous admirerez l'éclectisme volontaire de mon embryon de bibliothèque de l'indignation... Cette brochure est un manifeste outillé. À partir de sa lecture, de sa manipulation, une authentique réflexion peut s'enclencher. Je pense à l'usage pédagogique qu'on pourrait en construire afin de montrer aux jeunes de nos écoles, collèges et lycées – trop habitués à accepter la pensée unique qu'on nous impose depuis trop longtemps – qu'un esprit critique sain et positif est possible.

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11 novembre 2010

J'avais dix-neuf ans...

Un espace de documentation dédié à la création d’un musée ouvert comme lieu de mémoire et d’hommage aux milliers de personnes enfermées, humiliées, torturées et exécutées dans le Stade National du Chili à Santiago suite au coup d’état militaire du 11 novembre 1973 qui a renversé le gouvernement socialiste de Salvator Allende pour instaurer une dictature sous le général Augusto Pinochet. L'accès à la documentation se fait en plusieurs langues.

Proyecto de memoria y educación en el Estadio Nacional de Chile: "Museo Abierto, Sitio de Memoria y Homenaje". Auteurs du projet : Marcelo RODRÍGUEZ y Claudia WOYWOOD - arquitectos, Asociación franco-chilena "Territorios Sustentables", Chile-Francia.


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2 novembre 2010

Préférence confessionnelle

La presse annonce qu'Éric Besson propose d'accueillir 150 chrétiens irakiens. Le ministre de l'Immigration annonce qu'après l'attaque contre une église à Bagdad, la France est prête à accueillir des "personnes blessées dans l'attentat et leurs familles".

Quand on connaît l'idéologie et la mentalité du chanoine de Latran et de ses ministres, la seule explication de ce geste magnanime est la préférence chrétienne, non ?


14 octobre 2010

L'inverse du nazisme est encore le nazisme

L'association pour les droits civils en Israël (The Association for Civil Rights in Israel) publie une étude sur les propositions de loi qui seront discutées lors de la session d’hiver de la Knesset.

D'où il ressort que certaines dispositions envisagées par l'État israélien rappelle de tristes souvenirs pour celles et ceux qui ont vécu ou étudié l'Europe des années trente et quarante... Il suffit de changer les titulaires des rôles... No comment ! C'est trop gros !

J'ai toujours pensé qu'un État religieux était la pire des solutions politiques côté droits de l'humain.


17 juin 2010

Nous sommes tous Sud-Africains !

Plus précisément des stadiers Sud-Africains. Ces derniers font grève. “Nous voulions que la fête reste la fête. Mais ils nous traitent vraiment trop mal et profitent du fait que nous soyons pauvres et affamés”, dit l'un d'eux à l'Agence France-Presse.Que le profit des plus riches soit conditionné par le profit qu'ils font des conditions de vie concrètes des autres, voilà une vérité mille fois éprouvée depuis des siècles. Et pas seulement en Afrique du Sud. Nous sommes tous des (stadiers) Sud-Africains.
En face du cri de la pauvreté et de l'exploitation, des "forces de l'ordre" bien outillées...

Poussons d'un cran. "S'il y a de l'argent pour les stades, il ne devrait pas y avoir de sans-abri et de gens qui vivent dans des bicoques", a lancé un organisateur. Le gouvernement a consacré 33 milliards de rands (4,3 milliards de dollars, 3,5 milliards d'euros) pour cette première Coupe du monde en Afrique du Sud, où 43% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. C'est Le Figaro qui le dit !  Nous sommes tous des Sud-Africains.

Et vive le fric ! Pardon : Vive le foot !


1 juin 2010

La déchéance des brutes oubliées de Dieu...

Je ne vais pas ajouter une louche au concert de protestations justifiées après les brutalités que l'État israélien vient de faire subir à des humanitaires... Je voudrais juste évoquer le court texte écrit par Gandhi en novembre 1938, oui je dis bien novembre 1938, Les Juifs en Palestine. Un texte plein de sagesse. À lire, en relativisant quelque peu question historique, mais à lire absolument !

J'ai reçu ce soir un texte récent puisque daté d'aujourd'hui, écrit par Nabil El‐Haggar, universitaire (Lille 1), intitulé Permis de tuer en pleine mer (2), et faisant suite à un premier texte intitulé plus simplement Permis de tuer, daté de janvier 2009...

De ces lectures, ressort l'idée que ceux qui se réclament du choix de Dieu finissent en brutes oubliées de Dieu... à moins que Dieu ne soit que violence et inhumanité - ce que l'histoire occidentale peut montrer sans faillir.

Moi qui suis mécréant, je vais finir par croire en Dieu ... pour le détester !
C'est tout ce que le peuple élu de Dieu aura gagné, pour ma part !


1 juin 2010

Rapport Amnesty

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Amnesty International

publie son rapport annuel
sur la situation des
Droits de l'homme
dans le monde.


C'est !

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