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BRICH59
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politique
28 février 2013

Stéphane Hessel

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29 juin 2012

e-Rousseau, c'est pour bientôt

Frédéric Kaplan présente ce qui promet d'être un superbe outil de travail pour les étudiants et chercheurs en sciences politiques, en philosophie, en littérature, en musicologie, en ... Sur son site, c'est .


13 juin 2012

Moi j'm'en balance !

liberation-coverDésolé, mais je n'ai pas voté pour elle - qui n'était pas candidate, juste la compagne de la personne que j'ai contribué à installer à l'Élysée à la place de l'autre. Alors, ce qu'elle dit, écrit, touïte, etc., je m'en contrefiche. Tout ce tintouin pour moins de 140 caractère touïté par une nana que personne n'a élu, c'est de l'infopollution caractérisée ! Les média crétins et la droite bête et méchante s'enfoncent dans la fange du divertissement comme aurait dit Blaise. Laissons-les s'enfoncer ! En tout cas, je n'ai jamais accordé à la compagne du Président la moindre autorité politique. Je n'ai pas voté pour elle. Point barre.

La seule fois où j'ai voté malgré moi, c'était en 2002 pour faire barrage au F-Haine. J'ai voté pour le représentant de la lhumanite-coverdroite dite républicaine - cette droite qui, dix ans après, fait dans le ni-ni, mettant sur le même plan la gauche forte - celle qui défend le mieux les valeurs de la démocratie et de la République - et le F-Haine... Comprenne qui pourra ! Je ne regrette pas. Parce que, moi, à la différence de Copé&C°, je suis un vrai rébublicain...

 

Reste que le comportement de Copé&C° me conforte dans le jugement que je porte à cette droite dite républicaine MAIS QUI N'EST PAS RÉPUBLICAINE DU TOUT. La porosité est visible entre la posture de la Haine et l'Union des Mauvais Perdants... et "l'affaire du touït Trierweiler" arrive au bon moment pour masquer cette écoeurante porosité, non ?


2 mai 2012

L'apolitisme et le non-idéologique sont ... de droite

M'ont toujours fait marrer, ces gens qui font les Saintes Nitouches avec la politique et l'idéologie - en se trompant joyeusement d'ailleurs sur le sens profond du terme idéologie qu'ils n'emploient que dans la négative et le péjoratif.

Le problème (pour les Saintes Nitouches), c'est que l'idéologie est là, on ne peut en nier l'existence diffuse et la force souterraine. Les Saintes Nitouches de la politique sont schizophrènes, refusant de voir la réalité et vivant dans un monde, ou voulant nous faire croire qu'on vit dans un monde sans pensée politique, sans projet de vie, mais juste avec une technique naturelle qui fait la vie comme elle doit être etc.

Pour ma part, j'ai toujours penser que ceux qui prétendent se situer hors "idéologie" sont des menteurs hors classe, des APOLITIQUES DE DROITE !

On a récemment lu des prises de position politique de la part d'économistes de plus ou moins de renom, d'abord le 17 avril pour soutenir Hollande, puis aujourd'hui pour soutenir Sarkozy. Mais autant les premiers assument leur vision politique, autant les seconds font comme s'ils n'avançaient que des arguments techniques.

Les économistes qui assument leur vision idéologique sont une bonne quarantaine [Philippe Aghion (Harvard), Michel Aglietta (Paris-X Nanterre), Yann Algan (Sciences Po Paris), Rémi Bazillier (université d'Orléans), Maya Beauvallet (Telecom Paristech), François Bélorgey (Irest), Françoise Benhamou (Paris-XIII), Eric Brousseau (Paris-Dauphine, Institut universitaire européen), Julia Cagé (Harvard), André Cartapanis (IEP Aix-en-Provence), Gilbert Cette (université de la Méditerranée), Thomas Chalumeau (Sciences Po Paris), Mireille Chiroleu Assouline (Paris-I), Daniel Cohen (Ecole normale supérieure), Elie Cohen (Sciences Po Paris), Brigitte Dormont (Paris-Dauphine), Bernard Gazier (Paris-I), Jean Imbs (Ecole d'économie de Paris, CNRS), Marc Fleurbaey (Princeton, Collège d'études mondiales), Samuel Fraiberger (New York University), André Gauron, Jérôme Gautié (Paris-I), Patrice Geoffron (Paris-Dauphine), Tristan Klein, Jacques Le Cacheux (université de Pau et des Pays de l'Adour), Jean-Hervé Lorenzi (Paris-Dauphine), Philippe Martin (Sciences Po Paris), Jacques Mistral (Harvard Kennedy School), El Mouhoub Mouhoud (Paris-Dauphine), Pierre-Alain Muet (fondateur du Conseil d'analyse économique, député socialiste, et membre de l'équipe de campagne de François Hollande), Fabrice Murtin (Sciences Po Paris), Dominique Namur (Paris-XIII), Romain Perez (Paris-I), Thomas Philippon (New York University), Thomas Piketty (EEP et EHESS), Michel Rainelli (université Nice-Sophia-Antipolis), Lionel Ragot (université d'Evry-Val-d'Essonne), Romain Rancière (EEP), Katheline Schubert (Paris-I), Laurence Tubiana (Sciences Po Paris, Columbia), Joëlle Toledano (Supélec), Dominique Villemot].
Les économistes "apolitiques de droite" ne sont pas une vingtaine [Bernard Belloc, université de Toulouse-I ; Marc Ivaldi, Ecole d'économie de Toulouse et EHESS ; Philippe Mongin, CNRS et HEC ; Philippe Trainar, économiste ; Régis Bourbonnais, Paris-Dauphine ; Philippe Chalmin, Paris-Dauphine ; Eric Chaney, économiste ; Jacques Crémer (CNRS) ; David Encaoua, Paris-I ; Claude Gamel, Aix-Marseille ; Louis Lévy-Garboua, Ecole d'économie de Paris et Paris-I ; Philippe Gagnepain, Ecole d'économie de paris et Paris-I ; Jean-Pierre Laffargue, Paris-I ; Michel Moreaux, Toulouse ; Christian Morrisson, Paris-I ; Bertrand Munier, IAE Paris ; Emile Quinet, Ecole d'économie de Paris et Ecole des ponts ParisTech ; Dominique Roux, Paris-Dauphine ; Jacques Thépot, Strasbourg].
Je sais : la quantité ne prouve rien. Peut-être juste un indice pour penser que l'UMP s'y est prise un peu tard pour rassembler davantage.

Ceci dit, ce 2 mai, d'autres économistes - ceux qui appelaient à voter Front de gauche avant le premier tour des élections - publient un appel à battre Sarkozy. Ils sont plus de cinquante [Louis Adam, commissaire aux comptes ; Pierre Alary, maître de conférences, université Lille-I ; Bruno Amable, professeur des universités, université de Paris-I ; Renaut Baphèse, économiste ; Philippe Batifoulier, maître de conférences, université de Paris-X ; Nicolas Béniès, économiste, université populaire de Caen ; Eric Berr, maître de conférences, université de Bordeaux-IV ; Paul Boccara, maître de conférences honoraire, université de Picardie ; Frédéric Boccara, maître de conférences associé, université Paris-XIII ; Mireille Bruyère, maître de conférences, université Toulouse-I ; Pierre Causse, économiste ; Pierre Concialdi, économiste ; Laurent Cordonnier, maître de conférences, université Lille-I ; Gérard Coutureau, économiste, ENFA ; Yves Dimicoli, économiste, ancien membre du Conseil d'analyse économique ; Jean-Paul Domin, maître de conférences, université de Reims ; Ali Douai, maître de conférences, université de Nice ; Denis Durand, économiste ; Jean-Marc Durand, économiste ; Guillaume Etievant, économiste, expert auprès des CE ; David Flacher, maître de conférences, université Paris-XIII ; Maryse Gadreau, professeur émérite, université de Bourgogne ; Jacques Généreux, économiste, IEP, Paris ; Patrick Gianfaldoni, maître de conférences, université d'Avignon ; Jean-Pierre Gilly, professeur émérite, université de Toulouse-I ; Bernard Guibert, économiste ; Ozgur Gun, maître de conférences, université de Reims ; Jean-Marie Harribey, économiste ; Isabelle Hirtzlin, économiste, université Paris-I ; Michel Husson, économiste ; Andrée Kartchevsky, professeur des universités, université de Reims ; Pierre Khalfa, économiste ; Robert Kissous, statisticien-économiste, consultant de CE ; Dany Lang, maître de conférences, université Paris-XIII ; Pierre Le Masne, maître de conférences, université de Poitiers ; Philippe Légé, maître de conférences, université de Picardie ; Jean Magniadas, membre honoraire du Conseil économique et social ; Jérôme Maucourant, économiste, université de Saint-Etienne ; Philippe Méhaut, directeur de recherches, CNRS ; Catherine Mills, maître de conférences honoraire, université Paris-I ; Alain Morin, économiste ; François Morin, professeur, université Toulouse-I ; Bernard Paranque, économiste ; Jean-François Ponsot, maître de conférences, CREG, université de Grenoble ; Frédéric Rauch, économiste, rédacteur en chef de la revue Economie et Politique ; Jacques Rigaudiat, économiste, ancien conseiller social des premiers ministres M. Rocard et L. Jospin ; Robert Salais, économiste, ENS Cachan ; Richard Sobel, maître de conférences, université Lille-I ; Bernard Sujobert, économiste ; Bruno Tinel, maître de conférences, université de Paris-I ; Stéphanie Treillet, maître de conférences, université de Marne la Vallée ; Franck Van De Velde, maître de conférences, université Lille-I ; Sébastien Villemot, doctorant, Ecole d'économie de Paris] !


 

20 mars 2012

L'humain repointe son nez ?

Pas inintéressant cet échange entre Jean-Paul Delevoye, président du CESE (Conseil économique, social et environnemental) et quatre lecteurs de La Gazette des Communes sur le site de ... La Gazette des Communes ! Voici la fin de la discussion :


Jean-Paul Delevoye - Excès de pouvoir par lagazettefr


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16 décembre 2011

C'est quoi déjà le problème ...

liberation-cover

 

...

 

de la fédération

 

Pas de Calais

 

du PS ?

19 novembre 2011

Ils ont réagi !

Les députés stigmatisés comme "évincés" par l'autorité juive réagissent ! C'est ! Ouf !


 

18 novembre 2011

Au diable les confessions !

Après les intégristes musulmans,
après les intégristes catholiques,
voici l'autorité juive qui se mêle de ce qui ne la regarde pas !

Hier, le président du CRIF s'est fendu d'un édito intitulé "Les évincés" où le grand amalgame s'expose bruyamment et où la technique de l'accusation fonctionne à merveille et contre tout bon sens qui voudrait respecter les simples lois de la pensée humaine ordinaire.

Je résume :

Le parti socialiste prépare les prochaines élections législatives.
Distribution des candidatures, en discussion avec Europe Écologie Les Verts - dont l'un des acteurs est réputé "antisioniste".
Pas de place pour tout le monde. D'où les évincés, dont plusieurs personnes de confession juive.
On peut donc parler d'antisémitisme. [maintenant je cite]
[...] plusieurs de ces « évincés » sont garants, dans leur histoire assumée personnelle et familiale, d’une mémoire des persécutions et des luttes communes dont nous ne pouvons accepter qu’elle soit rangée au rayon des vieilles lunes à honorer du bout des lèvres. Plusieurs sont, dans cette agglomération parisienne où la représentation politique juive diminue de façon progressive, des ponts avec la tradition socialiste. Cette tradition historique doit être préservée sans céder aux sirènes de la détestation d’Israël dont malheureusement les Verts ont absurdement fait un de leurs étendards. Les choix effectués par le PS seront perçus par la communauté juive comme allant dans le même sens.

On admirera la rhétorique.
Le Président dit que certains parlent d'antisémitisme, ce qu'il se gardera de faire, précise-t-il. Sauf que, ce disant, il dit que l'antisémistisme y est bien (il fait porter la responsabilité de ce dire à d'autres, qu'il ne nomme pas).
Ensuite, après avoir accusé un homme politique d'antisionisme puis embrayant juste après sur l'antisémistisme qui n'y serait pas, il affirme simplement bien que de façon quelque peu tordu qu'antisionisme et antisémistisme vont de paire.

Décidément, la "communauté juive" s'auto-ségrégationne, comme à l'habitude, sous l'étendard des malheurs de l'histoire contemporaine, étentard qui oblitère voire justifie trop facilement les malheurs que l'État d'Israël inflige au peuple palestinien depuis trop longtemps.

Dieu merci (pardon Seigneur !), ce type de diatribe n'est pas le fait de toutes les personnes de confession juive. J'en connais même qui sont farouchement opposées à la politique d'Israël notamment à l'encontre du peuple palestinien.

Quand les sentiments religieux déserteront enfin la discussion politique démocratique, le monde aura gagner en sagesse et en paix.



25 février 2011

L'analyse d'Edgar

EDGAR l'avatar analyse discours et opinions politiques sur Internet. Ce sera un rendez-vous périodique jusqu'aux élections de 2012...

C'est pour l'instant assezrudimentaire mais ça promet...

En direct sur le blog de Lingway.


4 mai 2010

Pourquoi faut-il qu'ils nous fassent honte ?

La France vient de voter une "aide" financière à la Grèce, une aide qui lui rapportera du profit financier. J'ai honte d'être français.
Mais quoi de plus logique en ce monde libéral que de tirer profit des difficultés d'autrui, fût-ce un peuple entier ?

Le Parti socialiste a voté cette aide - en dénonçant un taux trop élevé mais votant tout de même. J'ai honte d'être de gauche.
Mais quoi de plus logique pour ce parti politique qui a perdu les valeurs fondamentales de la gauche et court après le libéralisme pour se constituer parti de gouvernement ?


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