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BRICH59
2 juin 2007

Terribles rapprochements

Hier, vendredi 1er juin, La Voix du Nord, qui n'est pas ce qu'on appelle un journal de gauche, faisait sa page France|Monde (p.36) avec deux titres dont le rapprochement est saisissant :

VdNrecadr_

Ainsi, Nicolas Sarkozy court-circuite Xavier Darcos sur le dossier de l'Éducation !
Il était légitime de croire que Sarkozy méritait bien son surnom d'Iznogoud lorsqu'il était à la course à l'ambition personnelle, voulant montrer par monts et par vaux qu'il était capable de tout faire et agitant tout ce qu'il pouvait pour qu'on le remarque. On a tous autour de nous, au boulot notamment, des Iznogouds agités !
Le problème, c'est qu'aujourd'hui qu'il est parvenu à gravir la dernière marche, comme il dit, il devrait arrêter cette agitation ! C'était une stratégie (ou simplement une tactique) de confiscation du pouvoir à son profit.  Maintenant qu'il a tout ou presque (présidence de la République, élimination de la présidence du principal parti de la majorité, vague bleue qui risque fort de renforcer ce parti dont la pratique politique principale est celle du culte de la personnalité (de triste mémoire!), etc.), cette agitation iznogoudienne tourne à la pathologie : celle du tyran. La description du tyran en philosophie politique ne montre pas autre chose.

Sur l'autre côté de la page, on peut lire que les juges, les avocats et les droits-de-l'hommisme comme dit si chaleureusement Sarkozy, dénoncent l'impunité trop souvent décrétée pour les mésactions policières. En gros, cela signifie que le Ministre de l'Intérieur couvre des mésactions avérées de la part de ceux et celles qui sont placé(e)s sous son autorité. Mais, au fait, c'est qui ce ministre tant laxiste ? Vu qu'on parle de ce qui s'est passé en 2006 et début 2007, le ministre en question est ... Nicolas Sarkozy, Iznogoud soi-même ! Si l'on ajoute à cela tout ce que le juge Portelli a porté à la connaissance de tous en matière de résultats de la politique de cet Iznogoud-là, ça fait pas mal !

Le problème, c'est quand on rapproche les deux parties de la page : d'un côté un activiste qui veut tout faire car il sait tout faire, de l'autre un commis de la République qui a mal fait son boulot et qui a surtout voulu cacher qu'il faisait mal son boulot ; d'un côté quelqu'un qui disait vouloir tenir un discours de vérité et d'adéquation entre le dire et le faire aux Français béats d'admiration devant une si belle rhétorique, de l'autre un homme d'action qui mentait sur son bilan d'homme d'action... Vous allez me dire qu'il a dit avoir changé pour enfiler le costume présidentiel ! Ah ? Mais attention, qui sait changer une fois, peut changer toujours !! Qui se dit président républicain peut, pour d'insondables raisons d'efficacité, se muer en tyran Français, fossoyeur de la République !

Dans le même temps, bellaciao.org nous fournit quelques précisions sur le profil du va-t-en guerre Arno Klarsfeld, un bon excellent copain de Nicolas Sarkozy...

Tout cela est à pleurer !


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29 mai 2007

Soignez-vous !

sarkozyl



29 mai 2007

Vol AF 796 pour Bamako - suite 2

lib_rationLa suite est dans Libération d'aujourd'hui... Retour sur terre pour le rebelle du Paris- Bamako. En attente de son jugement, Salif Kamaté revient sur son parcours...


29 mai 2007

Et ça continue !

Nombreux sont ceux qui ont dénoncé les confusions multiples dont s'est servi le candidat Sarkozy pour se faire une bonne campagne. Brich59 l'avait fait en souhaitant ses bons vœux pour 2006 !
On pouvait penser qu'il s'agissait, pour Nicolas Sarkozy, d'un usage très machiavélique de tous les moyens disponibles quels qu'ils soient pour arriver à ses fins : être élu Président de la République ; et que, donc, une fois élu, notre Nicolas allait remettre les choses en ordre et mettre un terme au règne de la collusion qu'il avait instauré.
Eh bien NON !
Non seulement le contrôle des médias est de plus en plus évident, mais on continue le petit train-train des dépenses partisanes aux frais de la République. Ce jour, l'Élysée va véhiculer une meute de journalistes pour couvrir le meeting électoral animé par Sarkozy au Havre... Une réunion du parti politique UMP financée par la Présidence de la République : temps de travail du Président soi-même + frais de transport etc.
La confusion des pouvoirs est à son comble : l'exécutif avec le législatif (UMP) et l'exécutif avec le médiatique (journalistes). Quand je dis "l'exécutif", je veut dire ici la Présidence de la République - à moins que ce ne soit le Président de la République en personne, et là c'est typiquement un fonctionnement de dictature !

Vous allez voir que bientôt, il va faire main basse sur l'opposition parlementaire et sur ses propres contre-pouvoirs...


28 mai 2007

Vol AF 796 pour Bamako - suite

En début d'après-midi, ce communiqué de RESF.


L’HUMANITÉ DANS LES MOTS, LA BRUTALITÉ DANS LES FAITS

Le Malien dont l’expulsion a été empêchée le 26 mai par l’intervention de passagers indignés des violences qu’il subissait sur le vol Air France Paris-Bamako est libre.

En effet, bien que la police l’ait particulièrement chargé en portant plainte pour trois motifs (« opposition à une mesure d’éloignement », « refus d’embarquement » et « coups et blessures contre un policier »), le Juge des libertés et de la détention du TGI de Bobigny a décidé de ne pas le traduire en comparution immédiate, de le libérer et de le convoquer en justice le 28 juin. Une décision qui est un démenti cinglant aux rumeurs colportées aussi bien par les policiers dans l’avion que par un collaborateur du ministre tendant à le faire passer pour un dangereux délinquant.
Les conditions de brutalité particulièrement choquantes dans lesquelles s’est déroulée cette tentative d’expulsion sont aussi un démenti sans appel aux propos du nouveau ministre qui, dans ses déclarations, prétend conjuguer "fermeté et d'humanité" (« l’un ne va pas sans l’autre ») alors que dans les faits, la brutalité et elle seule préside aux expulsions.

Cette violence à l’égard des expulsés s’accompagne d’une volonté de plus en plus affirmée de réprimer tous ceux qui seraient tentés de ne pas laisser faire, de ne pas se taire, de ne pas fermer les yeux. 
Cette affaire, qui a conduit à l’annulation du vol du 26 mai pour Bamako place Air France devant ses responsabilités : rien, aucune loi, aucun règlement n’oblige une compagnie aérienne, privée de surcroît à accepter des voyageurs contraints sur ses vols, menottés, parfois bâillonnés, attachés à leur siège  et tabassés quand ils protestent. Les clients de la compagnie ne prennent pas non plus des billets Air France pour être menacés par la police quand ils s’élèvent contre des scènes choquantes, et, pour certains d’entre eux, évacués de force de l’avion, molestés, placés en garde à vue et poursuivis comme le sont Kadidja  et François Auguste traînés en justice et menacé de 5 ans de prison et 18 000 € d’amende pour n’avoir pas toléré les conditions inhumaines imposées aux reconduits. Les passagers d’Air France achètent des billets pour se déplacer dans des  conditions normales de sécurité et de confort. Ils veulent voyager dans un avion, pas dans un fourgon cellulaire volant.


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27 mai 2007

Vol AF 796 pour Bamako

logo3Il y a à peine plus de deux heures, un message est tombé dans ma boîte aux lettres électronique. C'est un communiqué de RESF. Il contient le témoignage de passagers du vol Air France 796 Paris-Bamako d'hier en fin d'après-midi...
Je ne peux pas ne pas me faire relais de ce texte - que voici.


Samedi 26 mai. Vol AF 796 pour Bamako.
Quelques minutes avant la fermeture des portes, des cris au dernier rang de l'avion. Une reconduite à la frontière classique.
Deux personnes tentent de contenir un homme d'une quarantaine d'années qui se débat violemment. On croit d'abord à une bagarre entre passagers. Certains veulent les séparer mais en sont vite dissuadés par les policiers qui se font alors connaître. S'ensuit une scène d'une grande violence: l'un des policiers pratique un étranglement sur le passager, l'autre lui assène de grands coups de poing dans le ventre. Ses hurlements se transforment en plaintes rauques. Cette tentative de maîtrise dure dix bonnes minutes, peut-être plus, et suscite immédiatement chez les passagers un mouvement de protestation qui n'a aucun effet sur les violences en cours.
L'un des passagers filme la scène avec son téléphone, ce qui énerve un peu plus la responsable de l'opération, qui menace d'arrestation les personnes les plus proches et photographie les protestataires.
Pour tenter de faire taire tout le monde, la policière explique que l'homme n'est pas un simple sans papiers, mais un repris de justice, soumis à la double peine. Cela semble à ses yeux justifier la méthode et toute la violence exercée sur lui.
Sous les huées des passagers, l'homme finit par être immobilisé et sanglé. Il perd connaissance, yeux révulsés, langue pendante, écume aux lèvres. Un mouvement de panique gagne les policiers. Ils prennent alors la décision de l'évacuer. Autour de nous, de nombreux passagers imaginent que l'homme est mort, ce qui fait encore monter d'un cran l'émotion. Des femmes pleurent, des gens convergent de tout l'appareil, rajoutant à la confusion. C'est alors qu'une bonne dizaine d'agents de la Police des Air et des Frontière, la PAF, fait irruption dans l'appareil.
Désigné par la responsable de l'opération, Michel Dubois, qui comme nous tous avait pris part aux protestations, est débarqué pour auditions. D'autres passagers, choqués par cette arrestation, sont à leur tour menacés du même sort.
A bord, on nous demande vainement de nous rasseoir, de nous calmer mais beaucoup exigent le retour de Michel Dubois. Un des policiers, visiblement dépassé par la situation, nous propose alors un marché: Michel pourrait réembarquer à condition que l'expulsé remonte lui aussi à bord. La balle était donc dans notre camp, nous serions responsable du retard de l'avion, et même de l'éventuelle annulation du vol. Michel devenait clairement une monnaie d'échange.
Cette proposition inacceptable est d'ailleurs tout de suite contredite par un policier de la PAF qui annonce la garde à vue de Michel Dubois et réitère ses menaces à l'égard des passagers qui campent sur leurs positions.
Le commandant de bord finit par faire une annonce, dans laquelle il fait état de "manœuvres" d'un individu refusant d'être reconduit dans son pays d'origine, et de manifestations d'une minorité de passagers pour expliquer l'annulation du vol.
Nulle mention des violences dont nous avions été témoin, ni de l'état de santé du passager pourtant aperçu dans une ambulance stationnée au pied de l'appareil, toujours inconscient et sous assistance respiratoire.
Nous sommes nombreux, comme Michel Dubois, à être choqués par la barbarie de la scène, par le traitement excessivement violent qui a été infligé sous nos yeux à cet homme, fut-il repris de justice, (ce dont il nous est d'ailleurs permis de douter, puisqu'afin de ne pas attirer l'attention des autres voyageurs, les policiers avaient d'abord décidé de le faire voyager sans le menotter).
Nombreux aussi à avoir la désagréable impression d'avoir été pris en otage par les autorités et profondément choqués par l’attitude du Commandant de bord d’Air France qui n’est pas intervenu pour faire cesser ces violences les tolérant même au mépris de la sécurité des passagers qu’il se doit d’assurer et en prenant la responsabilité de faire annuler le vol empêchant du même coup des centaines de personnes de faire le voyage pour lequel elles avaient acheté un billet.
Nous sommes enfin révoltés d'avoir été contraints de devenir complices des policiers en obéissant aux différentes injonctions et menaces proférées à notre encontre. Devions-nous laisser se dérouler sous nos yeux des actes d'une telle brutalité?
Pouvions-nous accepter l'arbitraire de l'arrestation de l'un d'entre nous dont le seul tort avait été de s'indigner et de parler avec les policiers pour tenter de faire cesser la violence? Il y a là une pénalisation de la solidarité qui nous semble inadmissible et inquiétante quant à l'état de notre démocratie.
Nous ne sommes pas assez naïfs pour croire que cette scène est un cas isolé, une bavure en somme. Nous savons qu'elle se reproduit quasi quotidiennement, et nous tenons à manifester notre indignation en relatant les faits le plus exactement possible.
Michel Dubois a été relâché quelques heures plus tard, mais on l’a informé que des poursuites seraient engagées contre lui. Quant au passager Malien, nous n'avons aucune nouvelle de lui, et son état de santé ainsi que le sort qui lui sera réservé dans les prochains jours nous inquiètent au plus haut point.

Des passagers du vol AF 796.


24 mai 2007

Petites affaires entre "amis" : Berlusconi comme modèle politique

sollyDécidément, la valse berloscunienne est dirigée de main de maître par Nicolas Ier !
La nomination de Laurent Solly (qui participa très activement à la campagne du candidat Sarkozy) à TF1 vient compléter le tableau de la nomination des deux journalistes au cœur opérationnel du nouveau pouvoir (Catherine Pégard de l'hebdomadaire Le Point et Myriam Lévy du quotidien Le Figaro)...
En fait, c'est juste pour montrer à la face du monde que TF1, Le Point, Le Figaro - et les empires médiatiques qui vont avec - sont des médias très "respectables"... Quant aux chaînes "publiques"...


21 mai 2007

Jogging

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21 mai 2007

Le silence est une caution...

UMPflicsC'était vendredi 18 mai,

au début de l'émission Là-bas si j'y suis,

parmi les messages déposés sur le répondeur par des auditeurs,

un témoignage de la violence policière à Montpellier...

Le silence est une caution...


20 mai 2007

Ruptures intestines...

En fait, il est clair, depuis l'intronisation de Nicolas Ier et l'entrée en fonction du nouveau gouvernement, que la fameuse rupture dont ils parlaient ne concerne pas du tout l'ensemble du fonctionnement politique français, mais vise seulement une différence de modes d'action dans le fonctionnement de l'Élysée et du Matignon des cinq dernières années. Il est clair qu'il ne s'agit pas de se distinguer des idéaux et des objectifs d'action de la droite représentée - que Nicolas Ier le veuille ou non - par la bande Chirac, Juppé, Borloo, Alliot-Marie, Bertrand, Darcos, Bachelot, Sarkozy (si si, il était même Ministre d'État, n° 2 du gouvernement Villepin ; mais il ne s'appelait pas encore Nicolas Ier ! juste Rastignac II), Fillon et consorts... Nous sommes toujours dans une politique de continuité du point de vue de l'objectif à atteindre : l'enrichissement des riches et l'appauvrissement des pauvres, comme au Monopoly ! Non, la rupture revendiquée par Nicolas Ier, c'est une différence pragmatique, juste dans la façon de s'y prendre. Et ce qui se voit de cette différence aujourd'hui, c'est :

  • le carnet d'adresses de Sarkozy (depuis trente ans qu'il hante les couloirs des pouvoirs - parti politique, collectivité locale, gouvernement - il a eu le temps de se faire plein de copains, patrons de presse, propriétaires de yachts, etc.) ;

  • l'apparence d'ouverture dans le constitution de l'équipe gouvernemental (comme dit l'AFP [19/05/2007 08h09], "les éditorialistes de la presse nationale et régionale créditent Nicolas Sarkozy d'une certaine habileté dans l'élaboration d'un "séduisant" gouvernement Fillon, principalement marqué par son "ouverture" et sa "parité""), mais, quoi qu'en disent les médias médusés et aveuglés, il s'agit bien d'une apparence et, encore une fois, il y a duperie, le seul objectif de Nicolas Ier étant de se démarquer de Chirac - ce que les éditorialistes ont vite fait de mettre en valeur, comme si "on" le leur avait commander !

  • l'apparence de parité qu'aucun des gouvernements sous Chirac n'avait mise en place... mais là aussi il y a tromperie sur la marchandise !

  • le premier ministre, lui, se présente au suffrage populaire, se démarquant ainsi de Villepin, le "premier-ministre-non-élu" comme lui ont reproché les sarkozistes quand il était en poste à Matignon ; chacun à son étage, il s'agit de montrer très ostensiblement (non non ce n'est pas un pléonasme !) qu'on change le fonctionnement de la politique !

  • le premier ministre, lui aussi (comme son patron), y va de sa larme ostentatoire ; l'AFP met ça bien en avant dans une dépêche : "le Premier ministre se dit "submergé par une émotion extrêmement forte qui se voit j'imagine" et essuie quelques larmes. "Je ne vous quitte pas, je ne vous abandonne pas, je ne vous trahis pas. Sablé, ça reste pour moi l'essentiel. Je sais que je dois tout aux habitants de Sablé"." (SABLÉ-SUR-SARTHE - 19/05/2007 13h30) ; pour un peu on pleurerait avec lui !

et puis il y a le footing ! le fameux footing... Vous remarquerez que le mot est américain et qu'aucun journaliste (à ma connaissance mais je peux me tromper - je l'espère même !) ne commente ce nouveau phénomène de la vie politique française comme il conviendrait ! Le mot est américain et la façon aussi ! La France comme copie de l'Amérique de Bush : pas mal non ! Chirac n'y avait pas pensé !
Hors l'idée d'acclimater les Français à l'idée qu'on a un remake US, Sarkozy Ier et son secrétaire particulier veulent nous faire le coup de l'esprit sain dans un corps sain, pas comme ce Chirac qui se prélassait sur les plages de l'île Maurice ou d'ailleurs...

D'ailleurs, je vais vous dire, moi, la vraie rupture sarkozienne : souvenez-vous ! c'était en juillet 2001, quand le Président de la République offrait des vacances aux journalistes pour les amadouer, les mettre à sa convenance... Relisez Le Canard Enchaîné du 11 juillet : vous y verrez une photo montrant Chirac "lézardant" sur une plage du Royal Palm à l’île Maurice en mai 1992, en maillot de bain et en compagnie d’Elisabeth Friederich, de l’AFP, et Françoise Varenne, du Figaro, en de semblables appareils. Comme ceux de Chirac, "leur voyage et leur séjour au Royal Palm sont intégralement pris en charge par l’AIMF" (Association internationale des maires francophones) dont une réunion de bureau ("bidon") sert de prétexte au séjour. "La séance de travail a été vite expédiée" rapporte Le Canard, et le communiqué de presse de l’AIMF sera "obligeamment repris par l’AFP et par Le Figaro". Ce cliché, paru dans Libé le 5 juillet 2001, a valu au quotidien plusieurs coups de fil de proches de Chirac tandis que Gamma, le diffuseur de la photo, refusait de la diffuser pour cause d’une mystérieuse "exclusivité". Le Canard précise que Gamma, filiale d’Hachette, est « sous la tutelle » d’Anne-Marie Couderc, ex ministre RPR et ex adjointe de Chirac à Paris. [là je cite une page d'Acrimed].

Ce qui n'a pas changé :
la collusion entre les médias et le pouvoir

La vraie rupture sarkozienne :
Chirac se débrouillait pour inviter,
Sarkozy, lui, il est invité !

Ce qui nous ramène au carnet d'adresses...


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