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BRICH59
28 février 2013

Comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme

« Le ministère de l'Éducation nationale travaillera avec un échantillon d'académies afin d'avoir une vision large des expérimentations de terrain, de distinguer les plus riches de potentialités éducatives, de mutualiser les bonnes pratiques et de fournir aux établissements des ressources que chacun pourrait utiliser en les adaptant à son contexte local », indique le dossier de presse diffusé par Matignon à l'issue du comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme, réuni le 26 février 2013.

Très bien !

infographie600Reste que je me suis toujours étonné de ce couple "racisme et antisémitisme", comme si l'antisémitisme n'était pas un racisme particulier, sur le même plan que les autres formes de racisme.

Mais je n'ai jamais encore fait part de cet étonnement, de peur d'être accusé d'antisémite.

On ne s'en sortira jamais.


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28 février 2013

Stéphane Hessel

25 février 2013

Former à la veille ?

Former aux pratiques et aux outils de veille, mais surtout former à la posture de veille.

Former à quelques outils utiles à la diffusion des résultats de la recherche itérative d'information, certes.
Former à quelques outils utiles à la recherche d'information, certes.
Mais surtout bien inscrire les fonctions remplies par ces outils dans le processus complet de la veille.

Si j'en crois ce que j'ai lu des travaux évalués lors l'édition 2013 du Challenge de la Veille (organisé par l'IUT de Nancy), n'est pas universellement perçue la distinction entre d'une part recherche d'information débouchant sur une synthèse et d'autre part mise en place d'un tableau de veille. Les documentalistes en herbes, dûment coaché(e)s par leurs enseignants d'IUT, ont fourni de bons voire excellents travaux pour satisfaire à la demande du pôle de compétitivité HYDREOS. Et peut-être la formulation de la demande induisait-elle davantage une posture de recherche d'information débouchant sur une synthèse qu'une authentique posture de veille ?

Je gage que les organisateurs de la prochaine édition feront tout pour que l'orientation veille soit prégnante et indiscutable...


 

22 février 2013

Un ANI qui nous veut du mal !

Partout en Europe, les plans d’austérité imposés par les institutions et dirigeants européens s’accompagnent d’une volonté de s’attaquer au droit du travail.

En France, l’accord passé entre le MEDEF et trois syndicats minoritaires (CFDT, CGC, CFTC) s’inscrit dans cette dynamique de reculs sociaux majeurs au nom de la compétitivité et de la rigueur à tout prix – c’est-à-dire de la loi des multinationales et de la finance.

Cet accord illégitime ne fait qu'aggraver la précarité du travail. Le collectif pour un audit citoyen de la dette invite chacun-e à s'engager pour qu'il n'acquière pas force de loi.

C’est pourquoi nous vous invitons à signer (et faire signer) à ce lien un appel lancé par plusieurs mouvements et organisations.

A faire circuler et diffuser largement auprès de vos collègues, amis, famille !

Le collectif unitaire à l'origine de cet appel organisera par ailleurs une réunion publique le 28 février 2013, à La Bellevilloise, à Paris, avant la journée d'action du 5 mars 2013 décidée par les syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires.


Texte de l'appel : Un ANI qui nous veut du mal !

L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur  du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail,  chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l'augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d'obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l'accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l'emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi.

Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L'heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement des jeunes communistes de France, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste français, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, Union syndicale Solidaires...


 

11 février 2013

Giono, L’homme qui plantait des arbres


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10 février 2013

Purcell : Blow up the trumpet in Sion (Z010)

Un nouveau chef d'œuvre bientôt au répertoire de Coeli et Terra (La Chapelle des Flandres).

Ici chanté sous la direction du gantois Philippe Herreweghe par Tessa Bonner, soprano, Patrizia Kwella, soprano, Kai Wessel, alto, Steve Dugardin, countreténor, Paul Agnew, ténor, William Kendall, tenor et Peter Kooy, basse (janvier 1993).

 


8 février 2013

Ce soir dans le Paris-Lille de 18h16, 45mn

indexCe soir dans le Paris-Lille de 18h16, 45mn d'arrêt pour un trajet censé durer 1 heure ! Cool ! Terminer une semaine harassante de cette façon ! Merci la SNCF !
Quand des rappeurs bloquent un TGV (Marseilles), ils sont mis en examen.
Quand le prestataire qu'on paye - et pas qu'un peu - bloque un TGV par défaut de maintenance électrique (panne de courant qu'ils ont dit au début puis à l'arrivée ils parlaient de "personnes sur la voie" [?]), on doit se contenter d'accepter leurs excuses transmises par de mauvais hauts-parleurs !
Cherchons l'erreur.


 

1 février 2013

Carlo Gesualdo, Madrigaux VI : Già piansi nel dolore

Carlo Gesualdo - Sesto libro di madrigali: XXII. Già piansi nel dolore

Le premier de chaque mois, Brich59 propose un extrait de la discographie de La Chapelle des Flandres (source : YouTube). Sympa, non ?


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